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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

Cet ouvrage broché de 262 pages, est paru en mars 2016 aux éditions l’Harmattan. Laura Tared signe ici son troisième roman, qui est un récit bouleversant sur la tolérance, habitée de cette mélancolie propre aux exilés.

Parti de Lorraine pour rejoindre l'Algérie en 1870, la famille Lebon effectuera le chemin inverse moins de cent ans plus tard.

Mais Elie qui ne peut se défaire du pays de ses ancêtres, y retournera des années plus tard

Au travers de l’histoire de ce juif pied-noir d’Algérie, on ne doute plus que la cohabitation et l’amitié entre les hommes de bonne foi et de bonne volonté soient toujours et partout possibles. Pourvu qu’on ne dise pas "les" arabes ou "les" juifs.

Chassée par l’invasion allemande de la Lorraine en 1870, la famille Lebon, une famille juive de marchands de grains s’exile en Algérie. L’arrière-petit-fils raconte à ses deux ­ filles l’histoire familiale, de leur arrivée dans la colonie jusqu’aux années terribles du rapatriement.

Pour la majorité des pieds-noirs, malgré les larmes et les serments hâtifs, la blessure est toujours là, suintante. Mais l’auteur ne peut se défaire du pays de ses ancêtres, il retourne en Algérie comme conseiller dans le pétrole et parallèlement, il se convertit dans la sidérurgie lorraine en pleine déconfiture.

À 75 ans, depuis Longwy où il s’est installé, il apprend qu’un contrat d’exploitation de gaz va être signé entre l’Italie et l’Algérie. Fort de ses contacts privilégiés avec le gouvernement algérien, il tente alors d’obtenir ce contrat pour la France mais il échoue. Il revient meurtri par l’évolution des relations entre l’Algérie et la France, la rancune tenace, l’antisémitisme rampant, l’intégrisme contenu mais pas totalement désarmé.

Il imaginait une Algérie multiethnique permettant à tous de vivre dans un pays débarrassé des haines et des frustrations.

 Le Juif qui avait cru que le croissant et la croix feraient alliance dans l’Algérie indépendante et que l’étoile de David y aurait droit de cité, aussi bien que l’homme sans Dieu, s’est simplement trompé

Source de l’information
www.editions-harmattan.fr/

 

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