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⇰ Une nouvelle rubrique sur le site : "ALGERIE 60 ANS APRES"
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Cliquer sur : lhttps://www.morial.fr/temoignage-60ans-apres.html
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"Betmo-or", cela ne veut rien dire pour vous ? Pas étonnant.
C'est pourtant ce que nous croyions entendre, nous, tous les gosses de la famille réunis autour de la table, frères et sœurs, cousins, cousines, lorsque grand-père Saïd élevait le plat du Séder à hauteur de son front, avant de le faire passer sur les têtes inclinées des assistants, ceci par trois fois, le soir de Pessah.
"Betmo-or… " et toute la mélodie qui baigne encore mes oreilles pour raconter que "hier nous étions des esclaves, aujourd'hui des affranchis. Ce jour nous sommes ici, l'an prochain libres au pays d'Israël".
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Les renseignements recueillis sur divers sources ont permis à Roger Mettout de compléter sa base de données.
Celle-ci est ainsi passée de 17 000 noms environ à presque 52 300, avec environ 3600 photos (identité - mariage- famille).
Cette nouvelle étude ne sera pas imprimée, mais vous pourrez la consulter à l’aide du lien informatique suivant :
( atention il faut créer un compte heredis pour y avoir accès)
Si vous n'avez pas de compte sur le site heredis il suffit d'en créer, c'est gratuit
https://online.heredis.com/login
Une fois votre compte créer et connecté, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de mettre le code que vous recevrez,
https://online.heredis.com/file/256618/immediate/1
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Source de l’information : "TLEMCEN
- Mille ans d’histoire d’une communauté juive" de Simon Schwarzfuchs
Tlemcen s'élève dans la partie occidentale de l'Algérie, non loin de la frontière marocaine, dans un amphithéâtre rocheux naturel : par beau temps, le regard plonge jusqu'à la mer, éloignée de quelques dizaines de kilomètres, et s'efforce de reconnaître sur la côte la petite ville de Beni Saf.
Elle est entourée d'une muraille que percent quelques portes couvertes par des coupoles de pierre. Certaines sont très anciennes, d'autres ont été construites par les Français après leur entrée dans la ville, il y a déjà un siècle et demi.
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Par Norbert Bel-Ange
Les Sages de la Sidra, étaient ces Rabbins venus d'Espagne, ici pour enfin jouir d'un havre de paix après les tribulations et les tourments endurés.
On n'a jamais su vraiment pourquoi on les appelait comme ça. Toutes les légendes à ce propos ne sont qu'imagination.
Il y avait 2 Synagogues qui se sont retrouvées plus tard en plein quartier arabe ; il était donc scabreux de s'y rendre. On en avait alors créé une troisième, plus petite, en quartier européen, dans les années 50, On avait connu dans les temps anciens, les Rabbins David Cohen, Jacob Soussan, Saadia Médioni, Makhlouf Ben Hanin, Abraham Ben Natan le Sépharade, Moché, Yossef et Yehouda Alachkar.
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Par Norbert Bel-Ange
Nombreuses sont les interprétations que l'on donna à leur nom générique. S'agissait-il du texte étudié chaque semaine à la Synagogue ? De l'arbre à l'ombre duquel ils reposent ? De la haie de jujubiers sauvages protégeant leur dernier sommeil ? On dit que ces sages furent brûlés vifs avec des sefarim attachés sur leur poitrine.
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Par Norbert Bel-Ange
En 1391, lors de la première expulsion, les grands maitres furent du voyage.
Parmi eux, les « Hahmé Hafdidra » ou des sages de la sidra enterrés au cimetière juif de la ville. Voici l’une des légendes attachées à leurs nom : un beau matin, sur une mer calme on les vit. Des sepharim arrimés sur leurs corps les avaient sauvés d’une mort certaine. Depuis, sur leurs tombes, lors de Lag Baomer ce furent force libations ouvertes à tous et ce jusqu’à la veille de l’indépendance algérienne.
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Par Norbert Bel-Ange
Le 28 juillet 1833, les Français entrent dans Mostaganem. Le 19 juin 1857, après neuf ans de tractations et de travaux, Mostaganem possède une Synagogue toute neuve pouvant accueillir jusqu'à 500 personnes. Oran n'aura sa grande Synagogue qu'en 1919.
Si le Rabbin Meimoun ben Reuben Abbou, dans le courant de cette deuxième moitié du XIXe siècle, déplore les mœurs dissolues de ses ouailles, ce n'est pas faute de les avoir instruites par ses ouvrages emplis de sagesse et imprimés à Livourne.
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Par Jean Paul Enthoven
Cet ouvrage de 208 pages est paru aux EDITION GRASSET le 6 mars 2024.
Le livre s’ouvre en 1960, à Mascara, petite ville des hauts-plateaux de l’Algérie française, avec l’inauguration d’un cinéma trop luxueux pour ce monde en sursis.
Ce cinéma, le Vox, c’est le père du narrateur, Edmond, qui l’a bâti à grands renforts d’enthousiasme, de naïveté et d’illusion. On doit y projeter « Moby Dick », le film de John Huston – mais comment montrer la beauté sous un ciel voluptueux, quand la violence, la haine et la folie des hommes se déchaînent ? Ce soir de juin, qui devait être joyeux, a lieu un affreux massacre…
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Les Juifs d'Algérie Historiographie, Méthodologie, Tradition et Modernité (1750-1914), est un livre broché de 192 pages, publié le 14 mai 2019 aux Editions universitaires européennes (EUE)
Contenu de l’ouvrage
Il se veut une contribution à une meilleure compréhension de l'histoire des Juifs d'Algérie depuis la conquête française jusqu'au début du XXème siècle.
Avec une rigoureuse compétence, Yossef Charvit s'est ainsi donné pour objectifs scientifiques de définir la problématique, la méthodologie et les sources historiques d'un procès historique complexe et multidisciplinaire.
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Lévitique 6,1 - 8, fin - Lecture 30 mars 2024 / 20 Adar II 5784
COMMENT DIRE MERCI par Caroline Rebouh
Dans Vayikra ont été commentés les différents sacrifices dont l'homme dispose pour se faire pardonner selon les infractions commises. Ici, dans la péricope de Tsav, il est question en particulier du sacrifice : zevah shelamim (זבח שלמים) sacrifice complet. Le mot shelamim vient de "shalom" paix mais aussi de "shalem" entier. Il s'agit d'un sacrifice qui est apporté au temple en signe de reconnaissance à l'Eternel pour quelque chose de bien, d'un évènement qui aura réjoui l'homme. C'est le seul et unique sacrifice dont tout le monde profite : le mizbéah (autel), les Cohanim et ceux qui ont offert le sacrifice !
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Par Charles BUNAN
Après le débarquement américain du 8/11/1942; dès le vendredi quelques militaires et officiers se retrouvent à la synagogue pour la prière du soir.
En le accueillant l’Aumônier (The Chaplain) remet à chacun une bourse contenant deux livres, sur l'un une préface du Président Roosevelt.
Ces livres ont été déposés au Musée d'Art du Judaïsme.
A la sortiede la synagogue, ils sont invités par les familles. Tout le temps de leur présence chacun s'honore d'avoir un américain pour les fêtes.
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Voici un minhag (coutume) typiquement milianais :
Avant Pourim, au lendemain du Chabbat Chekalim, les nouveaux mariés de l'année se rendaient en visite dans les familles.
Ils leur remettaient des bougies et recevaient en échange quelque argent "zékher lemahatsit hachékel" (il faut comprendre que cet argent qui revenait à la tsedaka leur était attribué d'office pour les aider à s'installer).
Ces bougies étaient ensuite allumées le soir de Lagh Baomer au cours de la fête organisée pour la circonstance.