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Simon Darmon nous parle de la Ziara (page 268 et page 433) sur Le Livre de nos Coutumes selon Ribach, Rachbats, Rachbach et R. Yehouda AyacheJerusalem 1995

Lorsqu'il y a un heureux événement dans une communauté, il est organisée une fête. La famille et les amis sont invités à la "Ziara" qu'elle offre à cette occasion, après la prière de Charit le samedi matin.

Le monde rassemblé, le rabbin, l'officiant ou l'hôte récite le Kidouch, après quoi on passe à l'apéritif.

On boit beaucoup de boissons alcoolisées, on lève son verre et on se souhaite "Meilleurs vœux ! Félicitations ! Bonne chance!".

On y déguste des spécialités et aussi des pâtisseries traditionnelles. On y chante des Piyoutim connus et la joie se communique de proche en proche.

Dans tous ces Ziara, la bonne humeur règne en respect pour les hôtes.

Il n'y a pas de repas fixe, d'ailleurs on ne se lave pas les mains et on ne fait pas le Motsi. C'est une institution très ancienne, et les rabbins et les Sages l'autorisent