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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

Cet ouvrage broché de 280 pages, est paru le 19 mai 2016 aux "ÉDITIONS VENDÉMIAIRE" - Collection Empires.

Colette Zytnicki est professeur émérite de l’Université Toulouse-Jean Jaurès et rédactrice en chef d’Outre-Mers. Revue d’histoire.

Ses travaux portent actuellement sur l’histoire culturelle et sociale du Maghreb colonial.

Mêlant histoire culturelle et économique, elle propose une vision inédite de cette Algérie disparue.

Un pays où l’on peut à la fois skier et randonner dans de sublimes massifs montagneux, se baigner sur une côte que l’on dit turquoise, découvrir une culture authentique dans des villages préservés, à proximité de luxueux palaces construits au milieu du désert…

Qui se souvient aujourd’hui que l’Algérie fut autrefois décrite comme la Californie française ?

Pourtant, dès le XIXe siècle et jusqu’à l’indépendance, elle fut une destination prisée, qui enthousiasma les voyageurs de l’Europe entière.

Véritable paradis touristique, célébrée par les peintres orientalistes et les somptueuses affiches des compagnies maritimes, elle accueillait jusqu’à 120 000 vacanciers au début des années 1950.

À travers l’invention d’une terre de tourisme, c’est un pan inexploré de la colonisation qui se dévoile.

 

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