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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

                

   Francis Harburger

 

             

               dans 

 

          Les musées

 

 

 

 

 "Toutes les larmes sont salées", 1952

(Huile sur toile, 97 x 145 cm. Paris, collection particulière).
Ce tableau antiraciste de 1952 figure parmi les "compositions civiquesde l'œuvre du peintre.
Alors que la guerre de Corée se poursuit, Harburger peint en 1952 "Toutes les larmes sont salées", un titre qu’il emprunte au romancier et poète Claude Aveline (1901-1992).

Son accrochage, au Salon des indépendants, est mouvementé : bien qu’accepté par le comité de sélection du Salon, le tableau est décroché le jour de l’inauguration; le propos ouvertement antiraciste risque de gêner les visiteurs officiels. Harburger s’indigne. Face aux nombreuses protestations – à travers lui, c’est la liberté de l’art qui est attaquée –, le tableau finit par reprendre sa place sur les cimaises du Salon.

↪ En ce moment et jusqu'au 17 septembre 2023, se tient à Trouville, musée Villa Montebello, une exposition "De la Casa Velazquez à la Normandie" où figurent quatre œuvres de Francis Harburger :

  • - Femme de Séville dans un intérieur, vers 1928, lithographie
  • - La Grande Poterie rose, 1959, Huile sur toile
  • - Trouville, chapelle Saint-Jean, 1966, Huile sur toile
  • - Grand nu de blonde couchée, 1929, Huile sur toile

Ce tableau fait partie des œuvres (réalisées par Harburger à la Casa Velazquez à Madrid), qui lui ont été spoliées par les Nazis n 1940 et ce tableau lui a été restitué en 1961 : 
https://www.trouvillesurmer.org

Pour en savoir plus :

https://www.harburger.fr/
https://www.harburger.fr/actus.html

 

 

Par Daphna Poznanski-Benhamou :

Membre du Bureau de l'Assemblée des Français de l'étranger
-Présidente du Conseil consulaire (circonscription Tel Aviv-Haïfa)
-Ancienne Vice-présidente de l'Assemblée des Français de l'étranger.
Il existe de nombreux livres sur l’Algérie et mon implication mémorielle dans tout ce qui touche à ce pays m’a amené à étudier de nombreux ouvrages. Depuis que j’ai fait partie de la commission « Mémoire et vérité » de l’Elysée sur la guerre d’Algérie, je suis submergé de livres ou manuscrits dont on me demande l’avis.
C’est ainsi qu’il y a très peu de temps on me donna le livre de Daphna Poznanski-Benhamou : «Les enfants de la guerre d’Algérie» qui venait de sortir en librairie aux éditions Ramsay.

Par Laurent JOLY

Cet ouvrage broché de 400 pages a été publié le 25 mai 2022 chez l’éditeur Grasser

La rafle dite du "Vel d’Hiv"est l’un des événements les plus tragiques survenus en France sous l’Occupation.
En moins de deux jours, les 16 et 17 juillet 1942, 12 884 femmes, hommes et enfants, répartis entre Drancy (près de 4 900) et le Vel d’Hiv (8 000), ont été arrêtés par la police parisienne à la suite d’un arrangement criminel entre les autorités allemandes et le gouvernement de Vichy. Seule une petite centaine de ces victimes survivra à l’enfer des camps nazis.

Par Hedia Bensahli

Cet ouvrage broché de 310 pages doit paraitre le 24 août 2023, chez l’éditeur ‎ ALTAVA.
La présence juive en Algérie a souvent été minimisée, même niée dans les discours de tous les des vainqueurs. Pourtant, malgré tout, elle s’est maintenue jusqu’à ce que la colonisation la dissolve dans ses statistiques :

On parlera alors de Français, puis on les affublera de l’identité "pied-noir". Déchirement. Dans l’Algérie postcoloniale, la liesse de l’indépendance et les enjeux idéologiques (aussi) finissent par faire de ces autochtones une réalité anecdotique.
Pourtant, deux mille ans d’histoire et un héritage culturel des plus féconds sont là pour témoigner d’une trajectoire historique qui place la judéité au coeur de l’intimité algérienne.

Contribution de Didier NEBOT au livre "L'INVISIBLE DE LA RUE  VAUCOULEURS".

Tout porte à croire que, jusqu’au second siècle de notre ère, l’Église naissante et la Synagogue ne formaient pratiquement qu’une seule religion. Les chrétiens semblaient être une secte juive, les Romains ne faisant d’ailleurs aucune différence entre eux, chacun tolérant l’autre. Les disciples des apôtres, lorsqu’ils annoncent la Bonne Nouvelle, le font dans les synagogues.

C’est l’époque où le judaïsme, protégé par la politique philosémite des empereurs Sévères, se développe parmi les autochtones en Afrique du Nord.

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