Colloque : "Jacques Lazarus : un homme engagé"
- Affichages : 1773
Le dimanche 26 octobre 2014 à 14 heures, L’association MORIAL a rendu un l’hommage à Jacques Lazarus, au Centre d’Art et de Culture de l’Espace Rachi-Guy de Rothschild - 39 rue Broca, 75005 Paris
Cette conférence est mise en ligne sur Akadem.org, elle est visible à l'adresse suivante :
On parle de nous
- Affichages : 1184
On parle de nous sur Actualité Juive N°1316 du 23 octobre 2014
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
Article d'Actualité Juive du N°1316 - Jeudi 23 octobre 2014
Colloque Jacques Lazarus : "Juste quelqu'un de bien" par sa fille Nora
- Affichages : 3059
Quelques mots sur mon père
HOMMAGE RENDU A JACQUES LAZARUS-26 oct. 2014/ Photo de Georges Wojakowski
Tout d’abord, je remercie Michèle Rotman et Didier Nebot d’avoir organisé, au sein de Morial, cette rencontre / hommage pour mon père Jacques Lazarus.
Et je remercie aussi toutes les personnes présentes ici.
Mon père a eu une longue et belle vie. Il me manque.
La dernière année de sa vie, sans maman pour l’accompagner, J’étais - par nécessité - très régulièrement auprès de lui, chez lui, dans un modeste appartement parisien que mes parents louaient depuis leur venue d’Algérie. Et ces quelques mois, seule à seul avec lui, ont été merveilleux de tendresse et d’écoute. Il me parlait beaucoup et moi, je l’écoutais.
Et les paroles qu’il prononçait, étaient dites avec la même profondeur, la même conviction et le même enthousiasme que celles que je l’entendais me dire depuis ma plus tendre enfance.
Je vais essayer d’énumérer ici, mes plus beaux souvenirs de lui, en tant que père et en tant qu’homme, dans un inventaire à la Prévert.
Colloque : "Jacques Lazarus : un homme engagé"
- Affichages : 1772
Dimanche 26 octobre 2014 à 14 heures, L’association MORIAL vous invite à l’hommage rendu à Jacques Lazarus, au Centre d’Art et de Culture de l’Espace Rachi-Guy de Rothschild - 39 rue Broca, 75005 Paris.
"Un homme engagé : 1916-2014"
Jacques Lazarus (1916-2014) fut une des plus hautes figures du judaïsme d’Algérie. Il avait échappé au pire, résistant arrêté par la Gestapo, déporté, puis évadé, et voilà qu’à 30 ans la Métropole le dépêchait à Alger au sortir de la guerre pour organiser les écoles de l’ORT sur ce territoire d’outremer.
(Veuillez cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Accueilli à bras ouvert, en héros qu’il était, et comme un symbole de la Résistance juive à laquelle il avait appartenu, Jacques trouva vite une famille, les Cherki, une épouse, Judith, un beau-frère, Haïm, avec qui il créa la Commission Culturelle Juive d’Algérie, après avoir pris la tête du Congrès Juif Mondial pour l’Afrique du Nord.
Lutteur, entreprenant, novateur, il créa le premier périodique juif d’Algérie, Information juive, qui fut la voix autorisée du judaïsme algérien, notamment aux heures sombres de la guerre d’Algérie. Inlassable aux commandes, il accompagna en 1962 cette communauté juive à laquelle il appartenait depuis 1946 dans son « rapatriement » — ou disons son exil — en Métropole, où il créa l’Association des Juifs Originaires d’Algérie, en faisant aussi reparaître Information Juive, qui devint par la suite l’organe officiel du Consistoire Central.
Jacques Lazarus s’est éteint dans la paix, entouré des siens, et dans l’estime unanime de tous ses amis. Il reste dans notre mémoire comme un homme bon, généreux, délicat, dévoué, un mensch, dirait-on en yiddish, un Isch émounim, אמונים אישׁ, dirait-on en hébreu, un "homme droit", un grand homme, à jamais chéri dans nos cœurs.
Albert Bensoussan
Morial associe la Bibliothèque de l'Alliance israélite universelle, qui conserve les archives de Jacques Lazarus et a participé à la mise en ligne du journal "Information juive", au grand hommage qu'elle organise le 26 octobre sur "Jacques Lazarus, un homme engagé".
Avec le soutien du Fonds Social Juif Unifié/Appel Unifié Juif de france.
Avec la participation d'Akadem
Pour en savoir plus
- http://www.morial.fr/index.php/18-actualites/410-hommage
- Téléphone pour réservation : 06 63 61 55 00 - 06 11 73 67 69
HOMMAGE A JACQUES LAZARUS : "UN HOMME ENGAGE"
- Affichages : 2114
Le dimanche 26 octobre 2014, au Centre Rachi,
39 rue Broca ( Paris) à 14h15
Veuillez cliquer sur l’image pour l’agrandir
MORIAL organise le dimanche 26 octobre à 14h15 au centre Rachi ( 39 rue Broca 75005 Paris) un colloque sur Jacques Lazarus qui nous a quittés le 7 janvier 2014.
Le mois de "Tichri" : période des grandes fêtes juives.
- Affichages : 1861
Sur le calendrier hébraïque, le mois de Tichri 5775 correspond aux dates du 25 septembre au 24 octobre 2014 du calendrier civil.
Roch Hachana : 1er et 2 Tichri 5775 (25 et 26 septembre 2014)
RochHashana veut dire littéralement "tête de l’année", c’est une fête qui dure deux jours en Diaspora et en Israël.
Elle célèbre le nouvel an du calendrier hébraïque ainsi que l’anniversaire de la création du monde et du premier homme : Adam.
Le rite principal de cette fête solennelle est la sonnerie du chofar. La tradition chez les Séfarades est de précéder les repas des deux soirs d’un séder avec des bénédictions sur différents aliments symbolisant des espoirs pour une douce nouvelle année, selon la Feuille de Miel.
Jeûne de Guédalia : 4 Tichri 5775 (dimanche 28 septembre 2014)
Après la conquête de Jérusalem par Nabuchodonosor en 587-586 avant l'ère courante, les juifs sont massacrés et déportés vers Babylone. Pour permettre à quelques uns de rester, le roi place un gouverneur judéen nommé Guedalyahou à Jérusalem, qui est assassiné le 1er Tichri par un "loyaliste".
Ce fait est à l’origine du massacre de milliers de juifs, et de l'impossibilité de retourner en Israël pour de nombreuses années. Depuis, le lendemain de Roch Hachana est un jour de jeûne pour commémorer cette tragédie de l'Histoire Juive.
Lorsque le 3 Tichri est un samedi, le jeûne est reporté au lendemain.
Yom Kippour : 10 Tichri 5775 (samedi 4 octobre 2014)
Pendant cette journée, les Juifs observent un jeûne de 25 heures, et respectent certaines règles du Shabbat (par exemple, ne pas travailler, ni allumer de feu). Kippour, est le jour de la ferveur juive par excellence.
Les célébrations sont ouvertes la veille par le Kol Nidré (Tous les voeux), "le cantique des Marranes" qui est une prière en araméen visant à annuler les vœux de la communauté avant l'entrée de Yom Kippour.
Les cérémonies qui clôturent Yom Kippour sont la Neila et le chofar.
Souccot : 15 et 16 Tichri 5775 (9 et 10 octobre 2014)
C’est la fête des Cabanes, une des fêtes les plus joyeuses
de la tradition juive. Elle dure sept jours, dont les deux premiers sont des "Yom Tov" : jours de fêtes bibliques.
La Soucca (la cabane) doit être construite selon des règles et des proportions précises, le deuxième point de la fête de Souccot est le "Loulav", ou bouquet des Quatre Espèces : le saule, la myrte, la palme de dattier et le cédrat.
Dans la synagogue toute la communauté, loulav en main, tourne au rythme de prières et d’hymnes appelés hosha’not.
Le samedi de la demi-fête de souccot, il est lu à la synagogue l’Ecclésiaste (Kohèleth).
Hochana Rabba : 21 Tichri 5775 (mercredi 15 octobre 2014)
Hochana est le refrain répété d’un poème liturgique psalmodié par les fidèles, au cours de processions dans la synagogue.
Le 7e jour de Souccot est appelé "Hoshana Raba", ce qui signifie "la grande Hoshana" car ce jour-là, les fidèles font sept fois le tour de la Torah, c’est la clôture de la fête de souccot.
Chemini Hatséret : 22 Tichri 5775 (mercredi 16 octobre 2014)
Le "Huitième jour" qui clôture Souccot est une solennité à part. On ne va plus dans la soucca et on ne prend plus le loulav.
Pendant l'office du matin, dans les synagogues il est récité une prière spéciale pour la pluie. À partir de ce jour, il est demandé la pluie dans la prière quotidienne, jusqu’à la fête de Pessah.
Simhat Thora : 23 Tichri 5775 (vendredi 17 octobre 2014)
Le matin de ce jour, on effectue la lecture du Deutéronome (cinquième et dernier livre de la Torah), puis celle du début de la Genèse ("Béréchit", premier livre de la Torah), ce qui inaugure le cycle de la nouvelle année.
Ainsi, il n'y a pas de fin à la Torah.
Pour en savoir plus
http://www.terredisrael.com/fetes_juives.php
http://www.terredisrael.com/infos/albert-bensoussan-le-lecon-de-qohelet/
Appel à témoignages pour un devoir de mémoire
- Affichages : 1855
Nous souhaitons rendre hommage en France et en Israël, à tous les partisans juifs qui ont participé les armes à la main, au risque et au péril de leur vie à la neutralisation de l’Etat Major pétainiste pour aider les alliés à prendre pieds en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942.
Un appel à témoignages est lancé aux parents ou amis de ces résistants afin qu’ils soient informés de cet événement et participent éventuellement à cet hommage.
Une commémoration oubliée : le débarquement allié en Afrique du Nord et l’opération Torch à laquelle les juifs d’Algérie ont largement contribué
Marins britanniques et soldats américains sur la plage près d'Alger, en novembre 1942.Dès octobre 1940, de jeunes Juifs algériens de retour du front, ne se résignant ni à la défaite ni à la perte de leurs droits, se regroupent en vue d’une action éventuelle. Le 23 octobre 1942, ils décident du plan du débarquement en Afrique du Nord, désigné sous le nom d’opération Torch.
Dans la nuit du 7 au novembre 1942, les forces anglo-américaines débarquent en Algérie. Le 8 novembre 1942, à 1 heure du matin, la Résistance algéroise s’empare des points stratégiques de la ville et met en état d’arrestation, les principaux chefs militaires dont le général Juin et l’amiral Darlan.
A 2 h, la ville est sous leur contrôle et, à 7h30, les Américains entrent à Alger, sans avoir tiré un coup de feu : l’opération Torch est une réussite.
Il y a 10 survivants des participants à cette opération du 8 novembre 1942.
Pour en savoir plus
- L’Opération Torch du 8 nov 1942 - Par Sidney Chouraqui : http://www.terredisrael.com/operation-torch-1.php
- Les juifs en résistance : http://www.juifs-en-resistance.memorialdelashoah.org/liberation-du-territoire/le-debarquement-en-afrique-du-nord.htm
- José Aboulker : http://www.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/1042.html
En Israël, les grottes de Beit-Guvrin-Maresha au patrimoine mondial de l’UNESCO
- Affichages : 1642
Grottes de Maresha et Bet-Guvrin en Judée © Tsvika TsukLe Comité du Patrimoine mondial de l’UNESCO s’est réuni pour sa 38e session à Doha du 15 au 25 juin 2014, et a voté à l'unanimité en faveur de ces grottes au patrimoine mondial.
Véritable "Ville sous-terraine", le site archéologique de basse Judée comprend environ 3.500 grottes situées sous les cités antiques de Maresha et Bet-Guvrin.
Valeur universelle exceptionnelle
Ces grottes viennent de rejoindre d'autres sites israéliens déjà inscrits au patrimoine mondial, tels que Tel-Aviv (la ville blanche), Massada, la Route de l'encens, les jardins bahaïs à Haïfa, la vieille ville d'Acre, et la réserve naturelle de Nahal Me'arot.
Situé au carrefour des routes commerciales vers la Mésopotamie et de l'Égypte, le site témoigne d'une succession de périodes historiques par la grande variété de méthodes de construction souterraine et du développement des réseaux propices à des fins économiques et sociales de l'âge du fer aux croisades.
Source de l’information
http://whc.unesco.org/en/list/1370/
Cycle de conférences "Juifs en terres arabes" au Musée d'art et d'histoire du Judaïsme
- Affichages : 2001
Georges Bensoussan -Juifs en pays arabe. Le grand déracinement, 1850-1975 (éditions Tallandier, 2012) ©DR
De l’Afrique du Nord au Moyen-Orient, l’histoire des juifs en terres arabes a longtemps fait l’objet de lectures idéalisées et superficielles, aujourd’hui recouvertes par l’ombre du conflit israélo-arabe.
Le plus souvent antérieures à la conquête arabo-musulmane au VIIe siècle, ces communautés se sont dissoutes, en une génération à peine, dans l’après-guerre (1945-1970).
Le statut de dhimmi faisait du juif moins un protégé qu’un inférieur et un soumis, sans pour autant occulter la richesse culturelle (philosophique et religieuse, notamment) de ce monde disparu.
Les sept conférences proposées, sont coordonnées par Georges Bensoussan, historien, responsable éditorial au Mémorial de la Shoah.
Département du Judaïsme de France et d’Afrique du nord au musée Wolfson à Jérusalem : ouverture officielle le 13 octobre 2014
- Affichages : 1207
Affiche officelle
Cette soirée est prévue en présence de prestigieux partenaires : medias, responsables communautaires, culturels et cultuels, personnalités politiques….
L’objectif des créateurs est d’installer un département dédié au judaïsme de France et d’Afrique du Nord dans le très prestigieux musée Wolfson, situé sur l’artère centrale de Jérusalem, la rue King Georges.
Avec "Naufrages", Philippe Zaouati signe aux éditions des Rosiers son deuxième roman
- Affichages : 1584
Né à Marseille en juin 1966, le père de l'auteur du roman Naufrages, est né à Alger, sa mère à Oran.
Le sujet du livre traite un peu l’histoire des Juifs d’Algérie, mais surtout celle des Juifs de Bulgarie et la tragédie du Struma qui est la toile de fond de son deuxième roman qui s'intitule Naufrages.
Exposition actuelle : "Vie et traditions des Juifs d’Afrique du Nord", en Alsace
- Affichages : 1845
Le Musée Judéo-Alsacien de Bouxwiller propose une exposition exceptionnelle concernant les coutumes des Juifs du Maghreb
Dans les vitrines, sont présentés de magnifiques bijoux, des costumes brodés, etc.
LIBEREES A LA SAINTE BAUME
- Affichages : 2262
70 ans après sa libération à la Sainte Baume par les tabors marocains et les tirailleurs algériens, le 21 aout 1944, ce témoignage vient de nous parvenir des Etats Unis...
.....Merci.....
Née à RODALBAN (Palatinat) le 16 janvier 1927. Elle est arrivée en France par transport d’enfant (Baronne de Rothschild) en mars 1939. Puis, elle séjourne jusqu’en mars 1943 dans une Maison d’accueil et entre à l’école Hôtelière de la Ste Baume en Mars 1943.
Les Parents :
- Père à Shanghai (sans nouvelles)
- Mère déportée de DUISBURG, date et destination inconnue
- Deux frères servent dans l’armée Américaine
“21 August 1944”
In Monseigneur’s garden (couvent maudit)
Darning and folding and murmuring
Prophetic poems of seas and its Djinns
Sat my mother to be, tentatively,
Returned hostess' smiles to soldiers in grey,
Casting her glances while eying ships at sea
Did Hugo's verses she'd then recite
Comfort her, bewildered girl, from these Djinns
Before help approached, de Kerautem's men,
Halting before firmly locked convent gates
bursting orphans, who, cloistered since preteen
would scurry to Jeeps, chocolates and soldiers' knees?
They are so near! – We keep closed
This room where we defy them.
What noise outside! Fearsome army
Of vampires and dragons!
The beams of the loose ceiling
Sag and wilt like soaked grasses,
The rusted old door trembles,
Unseated from its hinges.
Cries from hell! voices roar and weep!
Filthy swarm, driven by north wind,
Doubtless, or heaven! stalks my home.
Walls bend under black battalions.
The house cries and staggers tilted,
And one could say, ripped from its soil,
Just as it chases a dry leaf,
Rolling on in the vortex wind!
Prophet! If your hand spare me
From impure demons of night,
I would prostrate my bald head
Fore your sacred incense bowls!
Allow their breath full of sparks
To die on these faithful doors,
Make the talons and their wings
Scrape in vain at these black pains!
They have passed! – Their cohort
Takes flight and flees; their feet
Stop beating on my door
With their multiple blows.
All filled with sounds of chains,
And in the nearby woods
Great oaks they do tremble
Bent beneath fiery flight!
And would she then say once comfort was hers, "I shall be,
Hilde, Michele, Helene, Haleine, or anyone I please"?
70 years ago, a Free French contingent off the main allied columns arrived at Holy Ste. Beaume above Toulon, and, with the Wehrmacht gone, Hilde Mann, Michele Mehlinger, Helene Mehlinger or whoever she was, packed up, went to Marseilles, then Paris, then America to find herself. Happy Liberation Day, Mom!
Traduction
(Texte extrait de la poésie Les Djinns de Victoir Hugo)
Ils sont tout près ! - Tenons fermée
Cette salle, où nous les narguons.
Quel bruit dehors ! Hideuse armée
De vampires et de dragons !
La poutre du toit descellée
Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,
Et la vieille porte rouillée
Tremble, à déraciner ses gonds !
Cris de l'enfer ! voix qui hurle et qui pleure !
L'horrible essaim, poussé par l'aquilon,
Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure.
Le mur fléchit sous le noir bataillon.
La maison crie et chancelle penchée,
Et l'on dirait que, du sol arrachée,
Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,
Le vent la roule avec leur tourbillon !
Prophète ! si ta main me sauve
De ces impurs démons des soirs,
J'irai prosterner mon front chauve
Devant tes sacrés encensoirs !
Fais que sur ces portes fidèles
Meure leur souffle d'étincelles,
Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes
Grince et crie à ces vitraux noirs !
Ils sont passés ! - Leur cohorte
S'envole, et fuit, et leurs pieds
Cessent de battre ma porte
De leurs coups multipliés.
L'air est plein d'un bruit de chaînes,
Et dans les forêts prochaines
Frissonnent tous les grands chênes,
Sous leur vol de feu pliés !
Traduction des 4 dernières lignes
Il y a 70 ans, un contingent de la France libre, avec des colonnes d'alliés, est arrivé à la Sainte Beaume au-dessus de Toulon et, la Wehrmacht chassée, Hilde Mann, Michele Mehlinger, Helene Mehlinger, ou quelque nom d'emprunt qu'elle ait pu avoir à l'époque était, avec ses quelques affaires, allée à Marseille, puis Paris, et ensuite l'Amérique où elle se trouve. Heureux jour de Libération, maman !
Ron Simenauer (son fils)
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/victor_hugo/les_djinns.html