logo_transparent1.png

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

 

Mon grand père maternel Moïse Sayag, "Mort pour la France" avait son nom gravé sur la stèle du monument aux morts d Alger.     

 

 

 

 

 Moïse Sayag

© Tous droits réservés Ministère de la défense 2013

Cliquer sur les images pour les agrandir 

 

Mon grand père maternel né à Oran le 4 octobre 1874, habitait à Alger.

Il y a été recruté, et il fut engagé dans le premier Régiment de Zouaves, numéro matricule 812 de la classe 1894.

Il est "Mort pour la France" le 19 septembre 1915, à l’hôpital de Sidi Abdallah, en Tunisie, suite à une maladie contractée en service.                                    

 

 

 

 

 

 

Lien avec le site : http://www.cimetiere-steugene.judaismealgerois.fr/monument_aux_morts.php  

               

Le nom de Moïse Sayag figure sur les plaques (celle de droite) commémoratives du temple de la place Randon reproduites sur le site.

   

 

 

 

 

 

Le monument aux morts dit "Le Pavois"

Il se situe dans le jardin de l'horloge fleurie, et il a failli être détruit le lendemain de l'indépendance, car il représentait la domination française en Algérie.

Dans les années 1978, cependant, il fut recouvert d'une espèce de coffrage en béton, pour éviter sa destruction, dans lequel il fut sculpté deux poings de main en train de briser des menottes. Bien entendu, les inscriptions ont totalement disparues.

Ajouter un Commentaire

Code de sécurité
Rafraîchir

MORIAL - Association loi de 1901 - Le nom MORIAL est déposé à l'INPI © 2011 Tous droits réservés
Site réalisé Avec joomla Conception graphique et développement : Eric WEINSTEIN