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De Benjamin STORA et Nicolas LE SCANFF
Cet ouvrage broché de 144 pages, est paru le 7 octobre 2021 chez l’éditeur La Découverte
Résumé
Alors qu'il numérise des photos de famille, David retrouve le portrait, peint en 1878, d'une "jeune femme indigène" d'Algérie.
En découvrant qu'il représente sa lointaine aïeule, l'adolescent, descendant de juifs des Aurès, entreprend une quête de ses origines, qui se transforme bientôt en véritable enquête historique dans un passé riche, complexe et douloureux.
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Le 24 octobre 2021 à 17h00, Espace Rachi, une rencontre est proposée, en salle, avec diffusion en direct sur internet, pour présenter "Adolphe Crémieux, l’oublié de la gloire".
En partenariat avec l’association Morial et le magazine l’arche :
- Haïm Korsia, Grand Rabbin de France, en conversation avec le journaliste Paul Amar
- Paul Krissi, Vice-président de ADACIA, Association "Des Amis de Adolphe Crémieux".
- Elisabeth Schemla, journaliste, en conversation avec Paul Amar, propose un échange et regards croisés sur "L’Héritage du Décret Crémieux".
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L’aimée de tous, le 24 octobre à 20h30
Le spectacle musical original L’Aimée de Tous – Habîbat El Kol, rend hommage aux artistes qui ont marqué la Tunisie des années 20 et donne l’occasion de revenir sur le parcours musical d’une jeune chanteuse, actrice et danseuse, au tempérament flamboyant et aux talents multiformes qui deviendra la charismatique et audacieuse Habiba Msika.
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Depuis la libération, trois maîtres ont éclairé la pensée Juive en France : les professeurs André NEHER, Emmanuel LEVINAS et Rav Léon ASHKENASI (MANITOU).
Lors de la levée du corps, l'Ancien Grand Rabbin d'Israël Mordechaï ELIAHOU disait de MANITOU : qu’il était un géant dont la grandeur n'avait d’égale que la modestie, et en cela, il rejoignait MOSHE Avenou dans cette HANAVA.
Parmi les très nombreux télégrammes on pouvait relever deux dominantes : l'implession de vide et pour certains la recherche de nouveaux repères.
C’est MANITOU qui le premier avait organisé l'enseignement ouvert à tous : il prônait un Judaïsme aimable et souriant, sans exclusion, dont la centralité était ISRAEL.
Lors de la cérémonie des 25 ans du CUEJ (Centre Universitaired’Etucles Juives), le professeur Addy STEGG nous faisait revivre l'ambiance des confërences de MANITOU au centre Edmond Fleg, dans les années 50.
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Préface par André S. CHARBIT , Président de La Fraternelle, de l’ouvrage "TLEMCEN - Mille ans d'histoire d'une communauté juive".
La vie n'était pas toujours facile à Tlemcen et les misères n'y étaient pas rares, mais nous y étions heureux.
Même ceux qui étaient partis s'établir à Oran, au Maroc ou en métropole se plaisaient à rappeler leur origine tlemcénienne, énumérant les membres de leur famille, proche ou lointaine, qui en étaient issus, faisant le compte des mariages qui les avaient reliés entre eux : nous étions le fils ou la fille de..., le petit-fils ou le cousin de...
Ces rappels ne faisaient que nous rapprocher davantage. Il y avait aussi des querelles, mais elles restaient toujours des petites querelles de famille.
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Une mémoire en musique...
La Compagnie Transmosaïk vous invite à découvrir sa création 2021.
ExilOfoN présente la trajectoire émotionnelle vécue par de nombreux chanteurs originaires d'Algérie depuis 60 ans.
⇒ 25 septembre à 20h30
A l'Atelier Coriandre, 86 rue Gaston Lauriau, 93100 Montreuil ; Métro 9 Mairie de Montreuil
Ce que l'histoire sépare, la musique le répare...
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Par Charles BUNAN
On oublie souvent que les fêtes de Tichri ne finissent pas le soir de Yom Kippour. Nous n'en somme même qu'à la moitié…
À Oran, durant les dernières années vécues par notre Communauté, certains organisaient, après le jeûne du Grand Pardon, des soirées dansantes à Canastel ou ailleurs.
Une façon comme une autre d’annoncer qu’après "les jours redoutables", viennent les fêtes joyeuses, c'est-à-dire Soukhot et Simhat Thora.
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Dimanche 5 septembre 2021, à 10H00, la cérémonie sera diffusée sur France 2.
Thème 2021 : "Voix de femmes" en hommage aux femmes dans la déportation
Cliquer sur le visuel pour l'agrandir
Instaurée à l'initiative du Rabbinat français, la mémoire des victimes de la Shoah est commémorée chaque année la semaine précédant le nouvel an Juif (1) par un office solennel à la Grande synagogue de la rue de la Victoire, en présence des représentants de la Présidence de la République et des représentants officiels d'anciens déportés.
(1) Roch Hachana 2021 commence au coucher du soleil le 6/09 et se poursuit jusqu’à la tombée de la nuit du 8/09
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Par Yossef CHARVIT
Les documents concernant les rabbins Gaguine forment la partie la plus importante des documents archivés.
Haïm Abraham Gaguine vit le jour en 1787 à Constantinople. Sa famille s’installa en Erets Israël ce qui fait que le jeune homme reçut toute son éducation à la yeshiva Toldot Itshaq.
Son fils, Shalom Moïse Haï Gaguine, qui rédigea les responsa Ismah lév (Jérusalem, 1878), fut émissaire rabbinique en Algérie dans les années soixante du XIXe siècle.
Une des lettres publiées est la réponse que fit parvenir le rav Moïse Haï Gaguine à l’émissaire rabbinique de la sainte communauté de Hébron, Isaac Kalamaro, en séjour à Médéa, en réponse à une requête sur la qualité d’un témoignage et de la légalité selon la loi mosaïque d’un sacrificateur rituel (Shohét et bodéq) soupçonné d’avoir commis certains délits de mœurs (Yoré déa, signe 20, p. 41).
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De Yossef CHARVIT
Ces archives contiennent également un riche témoignage de la correspondance entre les rabbins algériens et leurs homologues en Terre Sainte.
Nous nous limiterons ici aux écrits épistolaires datant du XIXe siècle dont :
a. Les lettres échangées par le rav Elie Allouche de Constantine avec les rabbanim de la communauté maghrébine de Jérusalem (Central Archives History of the Jewish People - CAHJP, AL/CO 4161).
b. La correspondance échangée entre les rabbanim de Constantine et le Rishon Le-Tsion Abraham Ashkénazi. Ces documents fournissent une profusion de données permettant une étude comparative du statut des émissaires rabbiniques selon les différentes communautés et proposent une large variété de solutions pour améliorer cette institution.
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Par Yossef CHARVIT
Concernant ces documents, nous en avons fait un usage extensif dans la recherche consacrée à la famille Abbo (Yossef CHARVIT, La France, l’élite rabbinique d’Algérie et la Terre Sainte au XIXe siècle — Tradition et Modernité, Ch. VI, Paris, 2005).
Plusieurs de ses membres furent consuls de France en Erets Israël, renferment une somme de documents sur le système relationnel en cours en tre les rabbanim de Terre Sainte et leurs coreligionnaires ainsi qu’avec les rabbins algériens qui avaient immigré en Erets Israël comme avec ceux qui vivaient en Algérie.
Les principaux sujets débattus concernaient les difficultés soulevées par l’application simultanée des systèmes juridi ques français, mosaïque et ottoman, qui ne se faisait pas sans peine et qui était un domaine du ressort des autorités consulaires des rabbanim Abbo (1).
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L’inauguration a eu lieu le lundi 21 juin 2021
↪ Pour assister à l’événement, merci de cliquer sur l’écran suivant.
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Cet ouvrage de 283 pages est paru le 31 octobre 1991 chez l’éditeur Albin Michel.
Résumé
Si André Chouraqui est connu dans le monde entier pour ses traductions de la Bible, du Nouveau Testament et du Coran, c'est que celles-ci ont restitué aux textes sacrés leur souffle poétique et leur sel prophétique.
On retrouve cette force dans son Cantique pour Nathanaël, qui constitue le Poème de sa vie, le testament spirituel d'un homme qui a su passer de l'unique - sa tradition hébraïque - à l'universel.