Reinette l'Oranaise
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Sultana Daoud alias Reinette l'Oranaise est une chanteuse et une compositrice française, née à Tiaret (Algérie) en 1915 et décédée le 17 novembre 1998 à Paris.
Aveugle à l'âge de deux ans, elle fut pendant plus d'un demi-siècle une digne représentante du folklore oranais, du chaâbi et l'auteur de compositions constamment réactualisées. Sa force de travail, son talent, son oeuvre originale et sa bonne humeur l'ont menée à se faire apprécier, au-delà du public juif et arabophone, et fait redécouvrir en France les beautés de la musique arabo-andalouse.
MAURICE EL MEDIONI
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A sa naissance, en 1928, son père et son oncle sont associés dans la gestion d'un cabaret, rue de la Révolution, au cœur du dem, le quartier juif d'Oran.
Le soir avant d'aller se coucher, le petit Maurice va voir son père et, quand il remonte, prend une poêle à frire pour s'en faire un oud, une fourchette pour faire un violon. Car ce café est le cœur musical d'Oran : son oncle, le violoniste et chanteur Saoud El Médiom, alias Saoud l'Oranais, est le maitre du hawzi, forme populaire de la musique arabo-andalouse.
En tant que tel, il initiera Reinette l'Oranaise et Lili Boniche.
Paracha HOUKAT
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Lecture de la Torah : Nombres 19 :1 – 22 :1 Chabbat 12 Tamouz 5783 - 1 juillet 2023
Cette péricope reprend les lois concernant la vache rousse. Cette loi (houka חקה) désigne, dans le langage de la Torah un dogme ou une loi qui dépasse l’entendement humain et qui se place à la limite entre le domaine du naturel et du surnaturel.
En effet, si l’on veut essayer de comprendre cette loi de la vache rousse, on n’y parviendra pas.
Haftara HOUKAT
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Lecture : Joshua 2:1-24
PECHER PAR ORGUEIL par Caroline Elishéva REBOUH
Dans cette lecture prophétique, nous nous trouvons à l’époque des Juges[1] où Yftah ( en français Jephté le Galaadite) (Juges chapitre XI versets 1 à 33).
Jephté est le fils de Galaad de la tribu de Menashé et il naquit d’une femme prostituée dont on ne cite pas le nom dans le livre des juges mais au sujet de laquelle on dit qu’elle était aubergiste. Galaad, le père de Jephté est marié à une autre femme qui a d’autres enfants. Après avoir été chassé de la maison paternelle par ses frères, Yftah succéda au juge Yaïr et devint ainsi le huitième Juge d’Israël.
13 juin 2023, conférence « 2000 ans d’histoire juive en Algérie »
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La Loge KADIMA-MAIMONIDE du B’nai B’rith France, vous invite le mardi 13 juin à 20h30 à la conférence :
"Mémoire et Vérité» : 2000 ans d’histoire juive en Algérie".
Par le Docteur Didier NEBOT, historien et écrivain.
Réservation
Danielle : 0698205911
Sylvaine : 0660619827
kidoushin et nissouin : LE MARIAGE JUIF
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Par Charles Baccouche
Belle et solennelle cérémonie que le mariage juif, émouvante rencontre des familles à la synagogue festonnée de guirlandes et de fleurs pour la circonstance,
-Dans le frou-frou des robes de sortie, les dames de tout âge murmurent entre elles des secrets déjà connus mais répétés avec extase "…depuis qu’on ne s’était pas vues rappelle toi la bar mitsva de HaÏm, tu sais la famille B…"
-Les hommes de différents âges eux aussi, campés dans leurs costumes immaculés couvrant de solides épaules sous de belles chemises aux cravates élégantes se rient du temps qui passe en échangeant des mots qui ne sont pas dits pour rester.
LE MARIAGE par Katy Bisraror Ayache
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Cet ouvrage de 589 pages a été publié en 2016, illustration de la couverture : «Le mariage juif (1903) de Jozef Israëls (1824-1911)»
Avec cette publication, l’auteure s’adresse à tous ceux qui veulent découvrir, redécouvrir et comprendre la cérémonie du mariage juif. Katy Bisraor Ayache est journaliste. Diplômée de Science Po Paris et de l’Université Hébraïque de Jéruslem, elle vit en Israël où elle couvre l’actualité israélienne notamment pour Radio J.
Sous forme de questions et réponses, cet ouvrage offre un tour d’horizon du mariage illustré par des proverbes et anecdotes.
La cérémonie du mariage est un des domaines les plus populaires, mais aussi les plus secrets et méconnus du monde juif.
La Ziara (Réception et fête)
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Simon Darmon nous parle de la Ziara (page 268 et page 433) sur Le Livre de nos Coutumes selon Ribach, Rachbats, Rachbach et R. Yehouda Ayache, Jerusalem 1995
Lorsqu'il y a un heureux événement dans une communauté, il est organisée une fête. La famille et les amis sont invités à la "Ziara" qu'elle offre à cette occasion, après la prière de Charit le samedi matin.
Le monde rassemblé, le rabbin, l'officiant ou l'hôte récite le Kidouch, après quoi on passe à l'apéritif.
On boit beaucoup de boissons alcoolisées, on lève son verre et on se souhaite "Meilleurs vœux ! Félicitations ! Bonne chance!".
Le MIKVE ou BAIN RITUEL
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Par Caroline Elishéva REBOUH
Le fait de se laver minutieusement est évoqué à plusieurs reprises dans la Torah surtout dans une optique de purification car, il va sans dire que tout comme nous obéissons à nos instincts naturels pour boire, manger, dormir, il va sans dire que nous devons aussi nous laver (d'un point de vue hygiénique) mais, quel rapport y a-t-il entre se laver, procéder à sa toilette dans un but purement hygiénique et le fait de se "baigner" pour se purifier ?
Paracha CHELA’H
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Nombres 13 : 1 - 15 :41 - Lecture de la Torah: 28 Sivan 5783 / 17 juin 2023
De nombreuses questions se posent sur cette sidra.
HaShem a promis aux Patriarches de donner en héritage une contrée à leur descendance alors, pourquoi dit-IL à Moïse : "envoie pour toi" des observateurs ?
En fait, IL n’a pas demandé d’envoyer des observateurs mais en précisant bien "pour toi" cela signifie en d’autres termes : pour ce qui me concerne, Je sais ce que Je vais vous donner comme terre mais si toi, Moïse tu veux tranquilliser ce peuple, Je n’y vois pas d’inconvénient, envoie là-bas qui tu veux.
Haftarah CHELA’H
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Lecture : Joshua 2:1-24
MON PERE, MA MERE, MES FRERES ET MES SŒURS….
Par Caroline Elishéva REBOUH
La lecture prophétique de cette semaine se trouve au deuxième chapitre de Josué, lorsque le successeur de Moïse parle à ses hommes et les envoie à Jéricho pour "étudier" la place et planifier la conquête de cette place forte.
Le nom de Jéricho (Yériho en hébreu) vient du mot yaréah désignant la lune car y résidaient des idolâtres rendant un culte à l’astre de la nuit.
Josué désigna donc ses explorateurs qui se rendirent chez Rahab.
Qui était cette femme ?
L'INVISIBLE DE LA RUE VAUCOULEURS
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Sarah Halimi est une femme juive assassinée à Paris en 2017.
Cet ouvrage broché de 352 pages a été publié le 1er mars 2023 chez l’éditeur David Reinharc
250 personnalités en sont les auteurs, sous la direction de Guy Bensoussan, du grand rabbin de France Haïm Korsia et de Michel Gad Wolkowicz.
Quatrième de couverture
Avant que son histoire ne soit réduite à une affaire juridique qui porte désormais son nom, le docteur Sarah Halimi a vécu, aimé, mis trois enfants au monde et pris soin de tant d’autres, comme médecin et directrice d’une crèche.
Zakhor ! (L'invisible de la rue Vaucouleurs)
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Contribution de Serge DAHAN au livre "L'INVISIBLE DE LA RUE VAUCOULEURS".
Dans la nuit du 4 avril 2017, à Paris, Madame Sarah Halimi, une femme de confession juive de soixante-cinq ans, est sauvagement assassinée par Kobili Traoré, un musulman radicalisé qui s’acharne sur elle pendant quarante minutes en hurlant Allah akbar ! et en la traitant de sheitan.
Ce crime, d’une violence inouïe, perpétré dans le contexte de la montée de l’antisémitisme en France, est l’expression d’une haine judéophobe et antisioniste.