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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

 

Première évolution

L'Algérie, conquise par les Arabes durant la seconde moitié du VIIe siècle, passa sous domination turque, en 1518. Débuta alors, la longue période ottomane de 1518 à 1830

Juif d’Algérie avant 1908 - Carte postale © mahJ

 Cette dernière n'a pas laissé de souvenirs douloureux dans la mémoire collective des Juifs en Algérie. Nous pouvons même avancer qu'elle a durablement formé les moeurs et la mentalité des Juifs algériens, dans leur parler, leurs coutumes et leur habillement.
Jusque dans les années 1930 quand, en Algérie, au sujet du conflit inévitable des générations, on évoquait la vieille génération des Juifs de ce pays on disait «les vieux turbans», allusion à :
-  La coiffure faite d'une longue bande d'étoffe enroulée autour de la tête,
- Mais aussi au costume composé du petit gilet finement brodé et du «saroual», le type oriental de pantalon, que portaient encore les anciens.

Le régime turc était assez dur, l'impôt ou le tribut annuel lourd, mais c'était supportable, car, fait important pour toute communauté juive en diaspora, l'ordre et la sécurité régnaient.

Les Ottomans, à partir du moment où l'impôt annuel était payé, n'intervenaient plus dans les affaires de la communauté juivequi pouvait s'organiser à son gré et gérer les questions internes du groupement juif, en toute quiétude, sous la houlette du Mokkadem, le chef de « la nation juive ».

Les Juifs confortablement installés dans ce régime s'y sentaient très bien et pensaient que cela allait durer longtemps. Ils se trompaient totalement.

Source de l'information

Ouvrage "LES JUIFS D'ALGERIE" Sous la direction de DAVID COHAN -  Edition MORIEL 

 

 
 

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