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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

Plusieurs chants sont traditionnellement associés à Hanouka, en particulier :

  • Maoz tsour, un poème liturgique en acrostiche de six stances, composé vers le XIIIe siècle.
  • Hanerot hallalou, qui résume les discussions talmudiques sur l'origine des lumières de Hanouka ainsi que leur caractère sacré.

Avihu Medina est un compositeur, arrangeur et chanteur israélien de musique israélienne méditerranéenne né à Tel Aviv.

Maoz tsour Les premiers mots de ce chant de Hanoucca (Ma‘oz tsour) trouvent leur source dans le Tanakh : « Car tu as oublié le Dieu de ton salut, et tu ne t’es pas souvenu du rocher de ta protection (we-tsour ma‘ouzèkh)… » (Isaïe 17, 10).

Il est composé de six strophes, les cinq premières étant arrangées sous la forme d’un acrostiche du nom Mordekhaï

Ce chant, Ma’oz tsour, rappelle l’essentiel de notre histoire à travers les libérations de l’Egypte, de Babylone et de Haman, et il conclut, avec l’évocation du miracle de ‘Hanouka, en exprimant l’espoir d’une prochaine reconstruction du Temple.

Ces cinq strophes ont acquis une renommée mondiale. Bien qu’elles aient été probablement écrites par un auteur européen, elles ont acquis partout droit de cité, y compris dans les communautés séfarades.

On sait peu de choses sur leur auteur, si ce n’est qu’il s’appelait Mordekhaï et qu’il a vécu en Allemagne au treizième ou au quatorzième siècle.

Selon certains auteurs, il s’identifierait à Mordekhaï ben Yits‘haq, l’auteur du chant du vendredi soir intitulé Ma yafith.

Une sixième strophe, commençant par les mots : ‘hassof zero‘a qodchékha, formant l’acronyme ‘hazaq, a été introduite plus tard, certains auteurs l’attribuant à rabbi Moché Isserlis (Rema).

Cette sixième strophe n’a pas été adoptée par les communautés séfarades.

La raison de cette exclusion se trouve peut-être dans son dernier vers, qui évoque des événements dont les communautés établies en terre d’islam n’ont pas eu à souffrir :
De‘hei Admon be-tsèl tsalmon, haqem lanou ro‘im chiv‘a – « Repousse Admon, à l’ombre de tsalmon, suscite pour nous les sept bergers. »

Admon ("rouquin") pourrait désigner l’empereur d’Allemagne Frédéric Barberousse, moteur de la troisième croisade (1188-1192).

Celle-ci a, comme toutes les autres, été accompagnée de nombreux massacres dans les communautés juives européennes.

D’où l’emploi, dans le même vers, du mot tsalmon, qui s’applique à ceux qui portent un tsélem ( "croix").

Quant aux "sept bergers" que nous appelons à notre secours, ce sont ceux dont parle le prophète : "Telle sera la paix de l’Assyrien lorsqu’il entrera dans notre pays, et quand il mettra le pied dans nos palais, nous établirons contre lui “sept bergers” et huit princes des hommes" (Michée 5, 4).

Ces "sept bergers" représentent nos défenseurs contre ceux qui nous agressent. 
Jacques Kohn zal’ pour Chiourim.com.

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