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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

 e-mail : morechet@morial.fr -  lescollecteursdememoire@morial.fr

L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

Le moment de la naissance

La naissance de l’enfant est toujours accueillie joyeusement. Jusqu’à la première moitié du XXe siècle, toute famille juive préférait une naissance de garçon afin d’assurer la transmission du nom de famille et le renouvellement de l’Alliance – et afin de ne pas avoir de constituer de dot.

La naissance d'une fille ne donne lieu qu'à une modeste cérémonie le jour du  Zeved Habat (זֶבֶד הַבָּת),  où lui est donné. un nom hébraïque, qui sera celui mentionné plus tard dans la Ketouba.

Au contraire, la naissance d'un fils, est chaleureusement accueillie et s'accompagne de festivités de la naissance jusqu'à celui de la circoncision.

La Protection

"On ne doit pas croire dans les superstitions, mais il est plus sûr de les respecter." Yehoudah ben Samuel de Ratisbonne (vers 1150-1217), Le livre des pieux

Les divers talismans contre le mauvais œil  parvenus jusqu’à nous ont trait à la protection de la future mère et du nouveau-né. Bijoux, textiles brodés, amulettes en papier manuscrites ou imprimées soulignent l’ancrage de cette tradition dans toute la diaspora. Plusieurs de ces rites sont essentiellement accomplis et transmis par les femmes.


Le nombre cinq a absorbé le pouvoir magique de la main, il est devenu lui-même un charme contre "le mauvais œil".

Le portrait du rabbin kabbaliste Baba Salé (Israël Abouhatsera, 1889-1984) a été l’icône rabbinique la plus diffusée au XXe siècle chez les juifs d’Afrique du Nord

 
 

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