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Bienvenue sur le site de l’association MORIAL

Notre objectif : sauvegarder et transmettre la mémoire culturelle et traditionnelle des Juifs d'Algérie. Vous pouvez nous adresser des témoignages vidéo et audio, des photos, des documents, des souvenirs, des récits, etc...  Notre adresse

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L’ensemble de la base de données que nous constituons sera  régulièrement enrichie par ce travail continu de collecte auquel, nous espérons, vous participerez activement.  L'intégralité du site de Morial sera déposée au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) à Paris, pour une conservation pérenne .

Tlemcen, le kiosque à musique au centre ville
Médéa : rue Gambetta (1945)
Alger : rue d'Isly (1930)
Une oasis à Ouargla (Territoire du Sud algérien)
La Grande Poste d'Alger (Photo J.P. Stora)
Square Bresson
Lycée E.-F. GAUTIER D'ALGER
Service Alger - Bouzareah
Alger : le marché de la place de Chartres
MEDEA - Le Café de la Bourse
Guyotville - La Plage

Poème de Pierre Raphael Draï 

Poème écrit dans le TGV Paris-Bordeaux, 

ÂDA 

Message d'origine De:Raphael Draï-mailto:raphaeldrai@free Envoyé : Mercredi 7 Mars 2012 18:03 À :Jacques Nakache  (AJOC) 

Objet : ÂDA

Cher Jacques "A l'approche de Pourim cette évocation , au fil de  de la plume"

Comment décrire Constantine durant Pourim,

Trouver les mots – parfums, les couleurs et  les rimes …

L’hiver  neigeux y laissait ses traces de froid
Et dans les rues pentues courraient les enfants rois


Qui faisaient bouquets de narcisse et mimosa

Pour Tata  Fortuné ou pour Mémé Rosa

Avant de pavoiser les cours et les fenêtres

Ouvertes sur les printemps d’un capiteux bien- être.

 

 

Dans les oratoires se lisait la Méguila
Pour fustiger Haman , ses sbires au coutelas ,
Et magnifier Esther  qui su  vaincre sa peur,
Notre Esther Hamalka qui se fit mère et sœur

Knedleth Constantinois

 

Et nous louangions son oncle Mardochée
Qui ne plia genou aux auvents des marchés
Sachant que Yéhoudi est un titre de vie
Qui  provoque la haine mais suscite l’envie.


Sur les tables nappées nous lancions les deux dés
Les douadèches blancs et noirs aux points non décidés,
L’as- doche disait la perte et le cinq- six le gain ,
Le plaisir de la vie  bruissait en son regain .


Sur la ville en fête s’épandaient les lumières
Où nos yeux se perdaient de toutes les manières
Puis le sort nous saisit et il nous projeta
Loin des ravins nombreux de l’étrange Cirta

 

Et nous avons roulé hors des maisons natales
Comme les dés battus par d’autres mains fatales,
Très longtemps le futur nous parut indécis

Jusqu’au moment heureux où sortit le cinq – six .

 

Tmar Mah’chia – Nougat Constantinois Aujourd’hui des Hamans refont assaut de haine
L’engeance du dément reste hélas bien pérenne
Mais nous savons d’ Esther qui domina sa peur
 

Que le salut divin peut "s’annoncer d’Ailleurs" . 

 

 

Constantine "Minhagim" envoyé par Jacques Nakache 

 

 
 

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