J’aime à me souvenir du temps de mon enfance si heureuse en une période si tragique, et de mon adolescence si perturbée lorsque nous sommes arrivés en Métropole, venant d’Algérie.
Oui, nous disions bien Métropole, et non France, car nous pensions encore que l’Algérie était une partie de la France et nous nous disions Algériens comme on se dit Provençal ou Breton.
Nous habitions un petit village près d’Oran d’environ 8000 européens et 15000 arabes dont plus de la moitié habitaient en périphérie (cliquer sur le visuel pour l'agrandir).
Ma famille était au départ, entièrement une famille de commerçants, épicerie-bazar, venue vers 1860 du Maroc, qui essaima peu à peu en autres commerçants puis en enseignants et en professions libérales.
Je me sentais profondément de ce pays disparu. Comme tout relativement récents naturalisés (depuis 1889) mes parents étaient patriotes français jusqu’au chauvinisme, malgré le rude coup des lois raciales de 1940. Je crois que c’est l’histoire banale de toutes les familles de même origine.
Je me souviens encore des rues bien droites plantées d’orangers ou de platanes. Pendant la floraison, le parfum des fleurs d’oranger envahissait tout le village.
Les juifs formaient une petite communauté dont tout le monde se connaissait, et nous étions parfaitement intégrés aux autres européens provenant de la dernière vague d’émigration due à la guerre civile espagnole.
Nous côtoyions les arabes sans nous interpénétrer. Les rapports étaient plutôt bons, jusqu'à que notre guerre civile vienne tout bouleverser.
Je peux toujours visualiser la plupart des magasins des rues proches de notre domicile et le chemin que j’empruntais pour aller d’abord à l’école maternelle, à l’école primaire, puis au collège.
J’entends le claquement des quelques carrioles à chevaux qui subsistaient.
J’entends les cris du ramasseur d’ordures qui guidait à distance le cheval de son tombereau par des Houe et Hooo.
J’entends aussi le bruit des petits métiers de rue, rémouleurs, vitriers, et celui d’un arabe qui vendait bizarrement du cresson et des oursins en criant « keressonne, dioursène ! » et que nous poursuivions de « quelle heure sonne ? Dix heure cinq «.
Il y avait beaucoup d’enfants et de nombreuses classes, ou les enfants de toutes origines étaient accueillis, Il y avait, en plus, des classes « d’initiation « pour préparer ceux qui ne parlaient pas assez bien français. Les arabes retiraient la plupart de leurs enfants, surtout les filles, vers l’âge de 10 ans.
Mes parents s’étaient mariés en1934 et avaient eu leur premier enfant (mon frère ainé) en 1935.
Mon père travaillait dans la succursale locale d’une banque, à Mascara, sa ville natale, et après avoir gravi tous les échelons en était devenu en 1939 le directeur.
Ma mère, institutrice, venait d’être titularisée, et ne galérait plus comme suppléante. Ils étaient heureux.
La guerre vint tout renverser.
En 1939, mon père se retrouva servant d’une batterie de DCA sur le terrain d’aviation d’Orléans. Il essuya un des premiers bombardements allemands. Il était fier d’avoir abattu un Stuka. Il m’avoua plus tard qu’il n’était pas sûr que c’était lui, car ils étaient nombreux à tirer sur le même avion. Puis ce fut la débâcle Abandonnés par leurs officiers, lui et ses camarades partirent à pied vers le sud. Il n’avait qu’une idée : rentrer chez lui. Il descendit à pied d’Orléans à Port-Vendres avec un ami perpignanais, puis n’ayant pas trouvé de bateau pour l’Algérie, il reparti, toujours à pied à Marseille. Il pu enfin s’embarquer, après plusieurs bagarres, pour Alger, et de là rentrer chez lui.
Ma mère, qui le croyait mort, après plusieurs mois de silence pensa, je crois avec raison, que c’était un miracle.
Quelques mois plus tard, les lois raciales de Vichy furent appliquées, également en Algérie.
Déchus de leur nationalité française, ils furent renvoyés, lui de sa banque, elle de son école.
Deux agents de police entrèrent dans sa classe du certificat d’étude pour lui annoncer, devant tous les élèves, qu’en raison des lois raciales, elle avait 5 minutes pour quitter sa classe. Les agents en questions, très gênés, étaient deux de ses anciens élèves. Mes parents furent financièrement assistés par le reste de la famille qui était dans l’épicerie.
Mon père s’installa comme comptable dans la ville natale de ma mère, Perrégaux, où la famille maternelle pourrait l’aider et fut soutenu chaudement par le curé du village qui demanda en chaire à ses paroissiens de lui apporter du travail .Ce fut une des histoires héroïques de ce village qui leur mit du baume au cœur.
Quelque temps après, les enfants juifs furent aussi renvoyés de leurs écoles, dont mon frère de 6 ans. Les instituteurs juifs renvoyés, qui étaient nombreux, créèrent des écoles clandestines pour ne pas que ces enfants soient en retard dans leurs études, en espérant fermement leur réintégration.
Le débarquement américain en Afrique du Nord de novembre 1942 rétablit, après une année d’hésitation (due à la rivalité Giraud – De Gaulle), la situation. Ma mère fut réintégrée. Mon père préféra rester comptable. Et je naquis en 1946.
Toutes ces histoires ont profondément marqué mon enfance, et bien qu’étant né après, je les ai entendu tant de fois, que j’ai l’impression de les avoir vécues.
Après, nous avons vécus heureux.
Du plus loin que je me souvienne, je vois toujours mon père en train de travailler. C’était un travailleur infatigable, plutôt timide, adorant sa femme qui le lui rendait bien. Il nous aimait aussi beaucoup, mon frère et moi, avec cet amour de patriarche, fier de voir que notre éducation soit supérieure à la sienne, mais gêné par un complexe d’infériorité. Il avait commencé à travailler à 14 ans comme commis de magasin et avait connu la faim due à la misère, ce qui nous semble si inimaginable aujourd’hui. Il n’a jamais voulu faire un prêt en banque, échaudé par les revers de la vie. Quand il écrivait une lettre à un organisme officiel, il venait faire vérifier son orthographe par ma mère, ou si elle n’était pas la par mon frère ou moi. Prompt à l’enthousiasme et à la déprime, il formait avec ma mère le couple complémentaire idéal, car elle ne se décourageait jamais et savait lui remonter le moral.
Comme tout enfant tardif, je ne l’ai malheureusement pas assez connu ni apprécié. La différence d’âge ne m’a jamais permis de l’avoir pour ami , comme ce fut le cas , je pense pour mon frère .
Ma mère était une battante, scandalisée par la moindre injustice. Mon père était son cousin au deuxième degré seulement du côté de son père qui s’était remarié. Ils se connaissaient de tout temps mais leur différence d’âge de 7 ans les avait séparés dans l’enfance. Ils se marièrent à 30 ans pour lui et à 23 ans pour elle. Ses parents à elle n’étaient pas très contents car c’était le jeune homme pauvre qui épousait la jeune fille riche. Mais elle savait que c’était lui et qu’elle le voulait. Toute leur vie, cet épisode les a égayés.
Ils vécurent côte à côte plus de 60 ans traversés par de fortes turbulences mais toujours unis.
Tout allait bien : la santé, la famille, les affaires. Ce que l’on a appelé bien plus tard la "Guerre d’Algérie" n’a commencé en Oranie qu’en 1956-57.
Je connaissais de ce village chaque rue, chaque magasin, chaque école, chaque parc. Sur le chemin du collège, l’un de mes oncles qui avait une petite épicerie indépendante et vendait, surtout, de la confiserie et de petits personnages pour enfants, me servait d’étape, car je savais y avoir "comptoir ouvert".
Le samedi après midi, j’allai au cinéma de l’école. C’était une salle de l’école dans laquelle des instituteurs avaient installé un antique projecteur. Pour 20 anciens francs, nous avions droit à un petit film de Charlot ou de Laurel et Hardy suivi d’un grand film, soit un western avec Gary Cooper ou Burt Lancaster, ou à un film musical, ou un film romantique.
C’est ainsi que j’ai vu un nombre incalculable de fois "Le chanteur de Mexico" ou "Le salaire de la peur" avec Yves Montant
Nous allions une fois par semaine à Oran, à la ville, ou ma mère faisait ses achats, et ou j’adorais trouver les "marchands d’ oublis", grandes gaufrettes en forme de cornets.
Nous étions très famille. La parentèle était dans le village ou dans un rayon maximum de 150 km. Toutes les fêtes se passaient ensemble ; Kippour, Pâques, Pourim, Noël, Jour de l’an.
Les week-ends, on allait tous ensemble au cinéma voir le film, quel qu’il soit, car nous avions des places d’abonnés. La veille de Kippour, on allait au cimetière allumer des bougies à coté de la tombe de mes grands parents maternels. Au début du printemps, vers Mardi gras, tout le village allait faire un pique-nique sur une petite hauteur voisine appelée la Colline des Planteurs.
Les différentes communautés se recevaient rarement chez elles, mais on s’échangeait des gâteaux pendant les différentes fêtes juives, chrétiennes ou musulmanes. Les gens n’avaient pas encore de cuisinières à gaz ou électriques et apportaient leur pain ou leurs gâteaux à cuire au four d’un boulanger. C’était pour les femmes accompagnées de leurs enfants, l’occasion de discuter et d’échanger librement entre communautés.
Nous vîmes arriver les premiers appelés du contingent en 1954-55, avec leurs habitudes, leurs coutumes et leurs si drôles d’accents. Ils étaient si gauches chez nous.
Nous les accueillions avec l’ironie d’un provincial recevant des parisiens.
Ils disaient " glace" au lieu de "crème" pour une crème glacée, ne savaient que l’on ne trouvait le pain que dans les boulangeries et jamais dans les épiceries, et ignoraient l’existence de l’"agualimon" et du "créponné". Ils découvraient les merguez et nous regardaient d’un air dégoûté quand nous mangions de la rate farci parce qu’un blagueur leur avait fait croire qu’il s’agissait de la femelle du rat.
Ils nous comprenaient parfois difficilement car nous parlions, avec un fort accent, le "pataouète", français truffé de mots espagnols et arabes.
En septembre 1961, je suis rentré en seconde à l’Ecole Normale D’Oran et j’ai pris toute les fins de semaines le train d’Oran à mon village avec mes camarades de promotion. Dans un compartiment, nous nous sommes étouffés de rire en écoutant discuter deux militaires avec un fort accent parisien, qui nous lançaient des regards courroucés.
Ma mère, qui avait repris un poste dans une école maternelle, avait droit, tous les 2 ans à une cure thermale ORL. Nous allions donc passer tous les 2 ans, ma mère, mon frère et moi, un mois et demi dans les Pyrénées, à Luchon ou à Cauterets ou mon père qui avait son travail venait nous rejoindre une quinzaine de jours.
Mon frère, qui avait déjà une expérience marseillaise, nous fit découvrir la bouillabaisse et la pizza, inconnue en Algérie.
Mon père amenait la voiture et nous montions parfois jusqu'à Paris, émerveillés par les grands monuments et musées. Je suis même allé à 7 ans aux Folies-Bergères ou mes parents, ne sachant par qui me faire garder m’avait fait rentrer clandestinement entre eux.
Nous avons finalement étés rattrapés par les attentats, et les atrocités des deux camps ont été intenses à partir de 1957. Et jusqu’au bout, nous avons été dans l’incrédulité totale d’un départ forcé.
Nous avons eu pour nous protéger des braves soldats métropolitains du contingent, des chasseurs alpins, mal formés et même déformés pour la guérilla, et qui ne pensaient qu’a la "quille". Toute la population européenne en était amère. Les soldats de l’armée d’armée d’Afrique avaient combattus 15 ans avant à Monte-Cassino et pendant le débarquement en Provence, sans penser à la "quille".
Cela entraina la formation de milices qui répondirent aux atrocités par d’autres atrocités. Nous savions vers la fin que le fossé était définitivement creusé avec les Musulmans.
A la rentrée de 1961, j’étais interne à l’Ecole Normale d’Oran, seul établissement d’Oran pouvant accueillir des élèves venant de villages alentour à partir de la troisième à Oran.
Ce fut une année particulièrement dramatique ou des attentats de l’OAS répondaient aux attentats du FLN, ou la répression des gardes mobiles contre la population européenne était exacerbée. Il y eu le mitraillage du concierge arabe de l’école qui suivit le jet d’une grenade dans la cour. Nous étions bien sûr, tous pour l’Algérie Française, et il, y avait, dans notre promotion, 2 arabes de plus en plus mal à l’aise.
Comme dans toute crise, comme cela avait eu lieu en France sous l’occupation, la population musulmanes, pendant tout cette guerre civile, à longtemps hésité. Peu se sont engagés dans le FLN, peu se sont engagés dans les Harkis, la majorité oscillant au gré des "évènements".
Le grand mensonge de De Gaulle a été de redonner un faux espoir aux français d’Algérie, en faisant semblant pendant presque 2 ans de soutenir l’Algérie française, dans le seul but d’arriver et de se maintenir au pouvoir. Il a incité de nombreuses personnes qui commençaient à se résigner au départ, à réinvestir sur place, avec des conséquences catastrophiques, puis à nier l’évidence d’un exode massif en cas d’attribution de l’indépendance.
On a consulté les métropolitains qui ont répondu massivement oui pour ne plus envoyer le contingent. On a consulté les Algériens dans leur ensemble, ou les européens étaient évidemment minoritaires. On n’a jamais consulté les Français d’Algérie qui étaient les premiers concernés, en feignant de croire à la fiction d’une application des accords d’Evian.
Mes parents m’ont expédié un mois avant l’indépendance chez mon frère étudiant à Marseille.
Je suis parti de l’aéroport de La Sénia ou j’ai couché pendant trois jours dans les écuries de l’hippodrome qui se trouvait en face de l’aéroport. Des milliers de gens fuyaient.
C’était la débâcle des français d’Algérie. Au fur et à mesure de l’arrivée d’avions, des militaires, qui nous avaient attribué un numéro d’arrivée, annonçaient leurs destinations et demandaient au gens qui choisissaient cette destination, de se présenter dans l’ordre des numéros.
Au bout de 3 jours, j’ai pris un avion pour Marseille.
A l’arrivée, les gendarmes bloquaient la sortie de l’aéroport et on nous demanda de payer notre place d’avion pour pouvoir sortir de l’aéroport.
Mes parents sont restés dans l’espoir de sauver »quelque chose ».
Ils n’ont rien sauvé.
Ils sont venus 2 jours avant l’indépendance
Nous sommes partis à Nice ou mon père avait eu l’intelligence d’acheter un petit deux pièces dans un quartier périphérique, 2 ans auparavant.
On n’a pas été mal accueilli. On n’a pas été bien accueilli non plus.
En fait, on n’a pas été accueilli du tout.
On nous demandait tout le temps : "Mais pourquoi vous êtes venus ?"
Cà nous semblait tellement ahurissant qu’on ne savait pas quoi répondre.
Je suis rentré en première dans un lycée de Nice ou j’étais le seul "Pied-noir" avec un autre d’élève venant d’Alger, dans ma classe. Nous étions les vilains colonialistes qui avions fait "suer le burnous".
Ma mère, à quelques années de la retraite, refusait de reprendre un poste, ce qui lui aurait fait perdre les avantages coloniaux. Elle n’a rien touché pendant 6 mois. Mon père peinait pour se refaire une clientèle, à 58 ans. Heureusement, mon frère était parti au service militaire en Allemagne. Et nous avions recueilli une vieille tante. Mes parents pleuraient tous les jours.
On nous avait aussi affublés du nom de "Rapatriés". Comment être rapatrié dans un pays que nous ne connaissions pas et ou nombre d’entre nous n’avais jamais mis les pieds ?
Jusqu'à aujourd’hui, l’incompréhension est totale entre métropolitains et français d’Algérie.
Jusqu’à aujourd’hui, la première question qu’un métropolitain nous pose lorsqu’il apprend qu’on est "Pied-noir" est : alors vous n’avez jamais eu envie de retourner là-bas ?
Non, je n’ai jamais eu envie de retourner là-bas, parce que là-bas est devenu un autre pays, un autre monde.
Là-bas , l’immeuble ou j’habitais et ou je suis né est peuplé de nouvelles personne inconnues , la rue ou j’habitais , le quartier , le village a vu partir tous les gens que je connaissais depuis ma naissance , aves lesquels j’avais joué dans mon enfance, que j’avais côtoyé à l’école et dans la rue pour être remplacés par des personnes que je ne connaissais pas .
Là-bas, tous les bâtiments religieux non musulmans, ont étés rasés ou transformés en Mosquées, en Musée ou autres.
Là-bas, le drapeau français est remplacé par le drapeau d’un autre pays. Là-bas, l’appartement de mes parents est occupé par des inconnus qui ne l’on pas acheté mais pris sans nous demander notre avis.
Ce n’est pas la même chose de quitter son pays parce qu’on veut découvrir le monde ou qu’on estime que notre situation peut être meilleure dans un autre pays , ou le quitter parce que ce pays disparaît pour être remplacé par un autre état qui nous rejette et pille nos biens .
Quelqu’un qui n’a pas vécu ça ne peut pas comprendre.
Pendant longtemps, à mon réveil, avant de relever mes paupières, je me retrouvais dans ma chambre de l’autre coté de la Méditerranée et j’avais l’impression d’entendre à la tète de mon lit, le rideau d’osier claquer contre la fenêtre.
Les indemnisations ont été misérables.
Nous avons eu l’immense chance d’être sortis de la tourmente sans morts ni blessés dans la famille. Mais nous nous sommes dispersés sur tout le territoire français.
J’ai donc eu une adolescence assez solitaire, et j’ai du attendre d’aller à l’Université pour me refaire des amis.
Quand nous avons eu à nouveau les moyens de circuler en France, nous avons fait des voyages de mémoires en France en essayant de retrouver des gens du même village.
Peu à peu, les liens se sont estompés, et ont étés rompus.
Avec le temps, notre situation économique s’est normalisée .Mais je pense que la blessure restera toujours ouverte.
Nous serons toujours, pour ceux assez âgés pour avoir des souvenirs (et à 16 ans c’était déjà mon cas) les citoyens d’un pays qui n’existe plus.
Galerie de photos
Abbé Caparos
Place de France
Square Laurent
Square Vallord
Ecoles de filles et garçons à Perrégaux
Institutrices de l'école maternelle en 1956
Ci-dessus ma mère (4ème personne à partir de la gauche)
Professeurs et élèves de Lvigne
Commentaires
Aucun accueil en métropole et toujours considéré comme un étranger, ballades de centre d accueil en centre d accueil et mon père Joseph Benichou, cordonnier à Perregaux à avalé tant de sédatifs et hypnotiques, ne réalisant pas le décalage et explosion familial car au lieu de conserver les familles on les a disloqué
Merci pour votre travail
Roland BENICHOU
Merci pour ce moment d'émotion. Bonjour aux PGS et à l'Ecole DELAVIGNE où j'ai enseigné avec Benalloul et Nogues en 58-59.
fils de Jacques et Céline ( "CONFORT MENAGER")
né en 1936, école DELAVIGNE,E.N.O ran 1952
Lycée MOSTAGANEM et LAMORICIERE, institut. à DELAVIGNE et douar MEDJAHED
Ancien combattant d'Algérie (ah!ah)
instituteur ERMONT (95) études fac. médecine Paris-chirurgie n dentiste à SARCELLES. Retraité Paris.
Est ce que vous avez une idée de ceux qui possédaient un commerce en bas de l'immeuble qui se trouve à côté des ateliers des chemins de fer, tout près de la voie étroite liant Perregaux à Béchar ?
J'en ai quelques souvenirs à partager avec eux si vous pouvez me mettre en contact avec eux s'il vous plaît.
j anime une rubrique perdu de vue
je recherche paul albert malka de perregaux merci d avance
La photo de classe des garçons tout à droite de plein
pied.Je suis retourné à Perregaux il y a ans ainsi
qu'à Port aux Poules
Encore Merci
Comment y accéder svp ?
Merci
JEAN BENSADOUN
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.