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Dans son ouvrage "Le livre de nos coutumes, selon Ribach, Rachbats, Rachbach, R. Yehouda Ayache" (page 103) Simon Darmon, explique que Néila qui signifie "clôture" est probablement le moment le plus solennel de cette journée de Kippour.
La Néila débute au soleil couchant et se poursuit jusqu’à quelques minutes après la tombée de la nuit.
Nous croyons que c'est à cet instant que notre destinée est définitivement fixée et notre jugement scellé (pour l'année qui s'ouvre). C'est pourquoi on constate un flux de fidèles à la synagogue. La ferveur dans laquelle nous prions à la Néila est exemplaire et la voix du rabbin est émouvante.
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Don au mahJ de Philippe Azoulay (famille algéroise) en mémoire de sa mère Mme Edmée Azoulay née Bensimon Marchina.
Une Fouta constitue une pièce drapée du costume féminin algérois. C'est aussi le nom donné à un drap de bain.
Elle consiste en un rectangle d'étoffe rayée, noué au niveau du bassin. Elle servait à masquer la transparence de la chemise, à régler sa longueur et à accompagner le serouel court pour atténuer la nudité des jambes.
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Lu dans les synagogues d'Algérie le premier jour la fête de Chavouot, cet ouvrage de Saadiyah ben Yosef Alfayoumi, est paru en 1913, chez l’éditeur Franck et Solal à Alger.
C’est à la synagogue Kaoua à Belcourt (Alger), que ce texte a été lu pour la première fois le deuxième jour de Chavouot 5673 (1913).
Il a été décidé qu’il serait récité tous les ans.
Le texte de l’auteur en hébreu a été traduit par le rabbin Isaac Morali.
Source de l’information
Bibliothèque de l’AIU.
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Par Simon Darmon
Page 421 de l’ouvrage "CONTES ET RECITS DES JUIFS D’ALGERIE"
Le Kami-a est une amulette écrite sur papier ou parchemin ou gravé sur plaque de métal, qu'on porte autour du cou ou sur la poitrine, le soir sous le coussin (car il ne faut pas s'en séparer).
Les Juifs ont appris à en fabriquer pendant la galout (exil à Babylonne par exemple). Images, dessins, ensemble de mots ou de lettres hébraïques pour conférer une action magique ou protectrice ; celle-ci est censée porter bonheur.
Les Sages ont essayé -mais en vain- de lutter contre cette superstition.
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Une publication de l'Institut Européen des Musiques Juives (IEMJ)
Dernière des trois chansons du Séder de Pessah, ‘Had Gadya est une chanson cumulative (chaque vers reprenant les vers précédents) qui met en parallèle le destin d’un cabri innocent et celui du peuple d’Israël.
Selon un enseignement traditionnel juif, le chevreau représenterait le peuple juif que Dieu (le père) a acquis par l’intermédiaire de Moïse et d’Aron (les deux pièces d’argent).