Boaz, Rout et Naomi
- Affichages : 1798
Livre de Ruth la Moabite רות־המואביה
À Déborah, mon épouse, par Albert Bensoussan
C’est l’histoire d’une femme dont le mari est mort sans lui avoir donné d’enfant.
Une veuve qui ne peut accepter un destin de stérilité. Une femme qui se sait mère et qui veut accomplir cette vocation, dans la fidélité à l’homme qui n’est plus.
C’est un conte, légendaire d’allure, qui établit une filiation et une généalogie dont le point d’arrivée est David, roi d’Israël, bâtisseur de Jérusalem et père du Messie à venir — Mashiya’h ben David משיח־בן־דוד.
La villa "Les Ormeaux" : Ecole Rabbinique d’Algérie, par Simon Darmon
- Affichages : 1720
Cette villa, située à mi-hauteur de Montplaisant, une des collines surplombant Alger, était la propriété de M. Joseph Hassoun -un des riches notables d’Alger, président du Consistoire- était l’ancien palais de Barberousse.
Cette maison était remarquable pour son très beau patio tendu d’un treillis qui portait des glycines sur toute sa surface et qui embaumaient toute la propriété. Ses jardins, ses pelouses, ses champs, ses carreaux et ses faïences ajoutaient à la beauté de l’ensemble. Les pièces de cette maison étaient très petites et portaient des murs dont l’épaisseur pouvait aller jusqu’à un mètre cinquante par endroits.
M.J. Hassoun avait gracieusement mis cette villa à la disposition de la Fédération des Communautés Juives d’Algérie pour abriter l’Ecole Rabbinique d’Algérie.
"A l'école en Algérie. Des années 1930 à l'indépendance"
- Affichages : 1550
Dimanche 2 juin 2019, I’Institut Universitaire Maïmonide propose une conférence avec Leïla Sebbar, écrivaine et Martine Mathieu-Job, professeur émérite, à l’Université Bordeaux Montaigne.
L’ouvrage de 368 pages, a été publié en 2018 aux "Éditions Bleu autour".
Présentation de l'éditeur
Cinquante-deux auteurs de cultures musulmane, juive ou chrétienne livrent leurs souvenirs d'école dans l'Algérie française et coloniale.
De l'école française, pour "indigènes" ou non, espace de normativité mais aussi, souvent, d'ouverture à l'autre. Et parfois, en parallèle, de l'école coranique ou talmudique.
MARNIA par Maurice Lévy
- Affichages : 2285
A MARNIA (l'ancienne Lalla Maghnia), comme c'était la coutume dans toute l'Algérie, on fêtait avec faste Lag Baomer.
Chef-lieu du département de Tlemcen, à l'ouest de celle-ci, sur l'affluent de la Tafna. 45000 h. Elle est bâtie sur l'emplacement de la ville romaine de Syr. Aux environs, on trouve des eaux thermales qui ont attiré non seulement les habitants de Nemours, Oujda, mais aussi ceux de toute l'Oranie.
Au recensement de 1931, on comptait 1028 Juifs, soit environ 170 familles. De l'après-guerre à 1962, on comptait environ 110 familles (700 juifs), soit une diminution de cette population par rapport au dernier recensement au profit de Tlemcen et surtout d'Oran, avant l'exode final.
On y trouvait deux Synagogues, la grande et la petite.
Cérémonie du 25/05/2019 : Les Compagnons du 8 Novembre 1942
- Affichages : 1653
Le 25 mai à 14h, Les Compagnons du 8 Novembre 1942 vous invitent à la cérémonie annuelle de l'hommage solennel aux fusillés du Mont Valérien et à toute la Résistance (voir ci-dessous l'appel et les moyens d'accès).
Nous serons présents au nom des Compagnons du 8 novembre 1942, avec le drapeau, fabriqué en leur mémoire.
Conférence du 6 juin 2019 : Les Compagnons du 8 Novembre 1942
- Affichages : 1467
Le 6 juin 2019 à Paris, à la Maison de la Vie Associative et Citoyenne du 14e, aura lieu la conférence de printemps organisée par Les Compagnons du 8 Novembre 1942 - Actes de Résistance - Mémoire et Recherche.
Intervenants
Georges Brandstatter : Passeur de Mémoire, artiste peintre, diplômé de l'Académie des Beaux-Arts d'Anvers, Belgique.
Combattants juifs dans les armées de la Libération, 1939-1948, témoignages
- Roger Bensadoun : Ancien praticien hospitalo-universitaire.
Henri Bendasoun, médaillé de la Résistance, officier de l'armée de l'Air, juif et franc-maçon : toute une Histoire.
CONCERT À PLUSIEURS VOIX en hommage à GABRIEL ALLIEL
- Affichages : 2040
Mardi 28 mai 2019 à 19 H à l'école Ganénou-Joëlle Msika, l'association Ganénou a l'honneur de vous inviter au CONCERT À PLUSIEURS VOIX, organisé en hommage à GABRIEL ALLIEL
Avec Le chœur Eden Shir, sous la direction de Catherine de Massé, Philippe Darmon, hazan, premier ministre officiant.
Chants liturgiques et populaires du répertoire juif d’Algérie, chants judéo-espagnols, musique arabo-andalouse ...
Évocations, souvenirs et poèmes
Gaby Alliel (1923-2018) fut l'ami fidèle et chaleureux de l'école Ganénou depuis sa création en 1980.
Algérie aimée : Mes souvenirs et 222 recettes de là-bas par Léone JAFFIN
- Affichages : 2239
Ce livre broché de 448 pages est paru le 15 juin 2012 chez l’éditeur Le Courrier du Livre. La préface est écrite par Robert Castel.
Description de l’ouvrage
Léone Jaffin nous fait revivre les souvenirs de son Algérie natale. Le soleil, la mer, les villes blanches, les longues marches en hiver, Miliana sous la neige, la vie sur les terrasses, la convivialité, les échanges de victuailles avec les voisins, les marchés abondants, les fêtes colorées, les plages et le sirocco l'été. La guerre aussi.
Puis le départ sur le bateau, le déchirement de quitter sa terre ancestrale. Les souvenirs se mêlent intimement à la cuisine, des repas quotidiens aux repas de fêtes, tous préparés dans l'effervescence et la joie.
L'auteur nous offre 222 recettes familiales issues de cette cuisine méditerranéenne riche en couleurs et en saveurs, une cuisine sentimentale au parfum de là-bas.
Les Juifs d'Algérie sous Vichy par Jacques Bernard Sadon
- Affichages : 2701
La thèse de doctorat en Histoire et civilisations de Jacques Bernard Sadon présente le sort réservé aux enfants de l’enseignement primaire et secondaire : mise en place de l’enseignement privé juif.
Présentation par l’auteur
Le travail de recherche auquel je me suis livré concerne le sort réservé à la communauté juive d'Algérie durant la période 1940-1943, et plus précisément celui des enfants des écoles primaires et secondaires victimes de l'éviction scolaire instaurée par le recteur d'Alger Georges Hardy.
Yom HaShoah : 27 nissan 5779 / 2 mai 2019
- Affichages : 2573
Cette journée à la mémoire des victimes de la Shoah, est un hommage rendu partout dans le monde, aux 6 millions de Juifs morts durant la Seconde Guerre mondiale, victimes des nazis et de leurs collaborateurs.
En France, 76 000 Juifs – dont 11 400 enfants – ont été déportés vers les camps de la mort. Seuls 2 600 d’entre eux survécurent.
La date de commémoration de la Shoah (Yom HaShoah en hébreu) a été choisie par l’État d’Israël.
PESSAH FETE DE LA LIBERTE de Caroline Elishéva REBOUH
- Affichages : 1767
Pessah פסח est un mot qui vient du verbe lifssoah = passer au-dessus; remémorant ainsi le fait que HaKadosh Baroukh Hou est passé au-dessus des maisons des Bné Israël en Egypte en leur épargnant à la fois les dix plaies tombées et infligées à l'Egypte et la mort des premiers nés qui fut la plus haute dans le degré des épreuves.
Si on regarde la structure des lettres de Pessah PE-SAMEKH et HETH, on peut s'apercevoir de plusieurs choses et trouver plusieurs éléments de commentaires.
PARACHA METSORA : 8 nissan 5779 / 13 avril 2019
- Affichages : 1143
Lecture de la Torah : Lévitique 14:1 - 15:33
Une maladie biblique non contagieuse de Caroline Elishéva REBOUH
Le texte de la paracha énumère un nombre de règles selon lesquelles seront fixées les lois de pureté et d'impureté, et les lois d'isolement de la femme.
La lèpre sera évoquée mais il est question d'une maladie qui n'est pas considérée par les sages comme une maladie organique mais comme une maladie que l'homme provoque soit par ses fautes soit par son comportement.
Poussières de Jean-Luc Allouche
- Affichages : 1684
Extrait de "Les Jours redoutables", éditions Denoël, 2010
Quelquefois, sur un coup de tête, je me rends au cimetière de Nétanya où repose mon père.
Après la traversée d’une zone industrielle déglinguée et d’une banlieue déprimante à force de se vouloir pimpante, un dernier virage avant la "Maison des vivants", l’euphémisme qui désigne le séjour des morts, un parfum entêtant d’eucalyptus et d’orangers me saisit.
Une courte prière, un caillou déposé comme le veut la tradition, un peu d’eau sur la tombe tombale pour laver la poussière et le sable accumulés, et je m’en repars, après un coup d’œil aux tombes surréalistes des Géorgiens.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir