Le "Jour de Jérusalem"
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Par Hubert Habib
Montage photo représentant Zion Karasenti, Yitzhak Yifat et Haim Oshri, anciens parachutistes israéliens, devant le Mur des Lamentations à Jérusalem le 7 juin 1967, et le 11 mai 2017 photographe : DAVID RUBINGER/MENAHEM KAHANA
Les Soldats de TSAHAL lorsqu’ils sont blessés et atteints dans leur chair, sont aussi HÉROÏQUES devant la souffrance qu’au combat.
Leur moral, leur détermination et leur rage de survivre sont uniques et exemplaires. Leur comportement s’inscrit dans une dignité qui appelle à un grand respect.
Ils ont réussi, après d'âpres combats de rue, à atteindre ce Mur Occidental ce 5 Juin 1967.
Poème sur les noms de Jérusalem
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Par Nicole Squinazi Teboul
Yévoussi ou Jérusalem la parfaite
Le seigneur y réside. Ainsi soit-il.
Elle est rassemblement. Beauté rayonnante et satisfaite.
Elle est ville rassemblée. Justice pour ceux de l’exil.
Coteaux du Nord par le ciel contemplés.
Montagne grandement, superbement peuplée.
La petite Jérusalem dans la conscience juive
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De Simon Darmon
C'est un phénomène bien connu que de trouver en Algérie des petites villes (parfois très petites) et qui se sont donné le titre de "Petite Jérusalem". Quelquefois l'expression leur était attribuée d'office.
Parmi ces localités, il y avait Médéa, Tlemcen, Souk Ahras, Aïn Beïda et bien d'autres. Et pourquoi ?
Jérusalem, capitale d'Israël avait été à la fois le centre spirituel, l'appareil social et le cerveau qui régissaient le Pays tout entier. Et donc, dès que dans un endroit on trouvait une activité religieuse intense, une atmosphère qui liait l'ensemble (ou la presque totalité) de la population juive et une cohésion sociale où les membres agissaient au sein du groupe, on pouvait affirmer qu'on était dans la petite Jérusalem.
Paracha BAMIDBAR
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Par Caroline Elishéva REBOUH.
Lecture de la Tora : Bamidbar, Nombres 1,1 – 4,20 , le 20 mai 2023 / 29 Iyyar 5783
SEPARER LE BON GRAIN DE L'IVRAIE par Caroline Elishéva REBOUH
Le quatrième tome du Pentateuque ou Houmach, en hébreu, est appelé de manière significative tant en français qu'en hébreu.
En effet, en français on l'appelle les "NOMBRES" car, au cours de ce livre, à deux reprises on effectue un dénombrement du peuple juif et, en hébreu il est appelé BAMIDBAR "dans le désert" car il a pour décor le désert Sinaï et, au cours de ces lectures, il sera possible de se souvenir de ce qu'enseignent les Hazal : la Torah a été promulguée à travers 3 "éléments"[1] : le feu, l'eau et la poussière/terre/sable.
Haftara BAMIDBAR
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Lecture : Osée 2.1 - 22
LA RECONCILIATION Par Caroline Elishéva REBOUH
Ce texte provient du livre d’Osée, il nous conte les amours tumultueuses qu’entretient le "couple" D et Israël.
Israël est comparé à une femme adultère dont l’époux furieux fulmine contre elle, bien que ce mari miséricordieux soit toujours prêt à pardonner la conduite de l'épouse volage et à reprendre avec elle une relation passionnée pour peu qu’elle décide d’opérer un revirement et de s’amender.
Dans le calendrier juif : "LAG BAOMER" : 18 Iyyar 5783 / 9 mai 2023
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Le "Omer" était une mesure d'orge offerte au Temple le deuxième soir de Pessa’h.
Durant les sept semaines (49 jours) qui séparent les deux fêtes de Pessa'h et de Chavouot, le Omer est décompté chaque soir après la tombée de la nuit.
Lag BaOmer est fêté le 33ème jour du compte de l’Omer : le 18 Iyyar. Lag est composé des deux lettres : lamed et guimel, dont les valeurs numériques sont respectivement 30 et 3.
LAG BAOMER à Alger
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Par Caroline Rebouh
Synagogue de la rue de DIJON à AlgerLAG (18 Iyar 5783/9 mai 2023) que l’on écrit en Hébreu avec un lamed et un guimel signifiant 33 car il s’agit du 33ème jour du Ômer, jour anniversaire de naissance et du décès de Rabbi Shimôn bar Yohay.
A Alger où l’on prononçait l’hébreu avec tous les "daguesh" on ne disait pas LAGH BAOMER mais on "fêtait LARH".
LAG BAOMER à Constantine (Algérie)
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Par Serge Allouche de Lyon
De mes souvenirs de célébration à Constantine, il y avait deux saints que l'on vénérés.
Indépendamment que chaque famille allumait des veilleuses à leur domicile, Il y avait un certain cérémonial à parcourir les lieux qui étaient marqués par une sainteté particulière du fait de la présence en cet endroit de grands rabbanims.
Vers 17 heures, les femmes se rendaient dans les diverses synagogues de la ville pour allumer les Kandels (veilleuses). Ensuite le parcours se décomposait come suit : direction rue Grand, dans une petite maison tenue par «Ma louisa» endroit où les rabbanims passaient leurs nuits à étudier le Zohar ( la Kabbale).
⇒ Cliquer sur l'image pour l'agrandir
Document personnel appartenant à Jacques Nakache, publié avec son aimable autorisation (Reproduction interdite).
LAG BAOMER à Laghouat (Algérie)
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Sur le journal "L’ECHO D’ALGER" du 28/05/1938
Carte postale du début du XXe siécl. A droite, la synagogue. A gauche, l'école de garçons, En face la porte d'Alger "Bab Dzair" qui aboutit sur l'avenue Cassaigne
Ces fêtes se sont déroulées, cette année, avec un faste tout particulier.
La veille, les nombreux fidèles se sont rendus successivement chez le vénéré grand-rabbin, Haroun Choukroun, où ils étalent reçus par ses enfants, puis au temple Achouche. où ils étaient reçus par M Mardoché Zenou.
Le lendemain, une pieuse cérémonie réunissait une nombreuse assistance au cimetière, et les prières pour les morts de la Grande Guerre étaient récitées par les rabbins officieux.
LAG BAOMER à Médéa (Algérie)
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Témoignage de Mme Gisèle L. native de Médéa, qui nous a autorisé à publier son récit de Lag ba'omer à Médéa (Algérie) en 1913 et des photos personnelles.
Une tradition ancienne nous apprend que l’un des conseillers les plus écoutés du Bey n’était autre que le Rabbin de la ville, cabaliste renommée, "Le grand Rab", Rabbi Yehochoua Elkaïm (1831-1877), dont le tombeau devint le centre du pèlerinage annuel à Lag Baomer ; et son souvenir est encore vivace parmi les Juifs de l’Algérois.
PARACHA BEHAR - BE'HOUKOTAÏ
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Lecture de la Torah : Lévitique 25:1 - 27:34 - le 13 mai 2023 - 22 Iyyar 5789
Observer les Mitsvoth et modifier son MAZAL Par Caroline Elishéva REBOUH
Dans BEHAR l’année shabbatique (shnat hashemita) est évoquée. La terre pour accomplir son devoir doit faire germer et donner des produits pour permettre à l’homme de subsister.
Mais, la septième année, on ne doit ni semer ni récolter. L’homme interroge le Créateur : de quoi vivrons-nous ?
Haftara BEHAR
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Par Caroline Elishéva REBOUH - Lecture Jérémie 32,6.27
Jérémie exprime dans sa prophétie une sorte de désespoir et de souffrance.
Il souffle dans ces versets l’espoir de voir Israël revenir vers son Créateur qui purifiera Ses créatures et le fera revenir sur ses terres ancestrales alors qu’il en a été chassé et exilé parce qu’il n’a pas su être fidèle aux préceptes de la Torah.
Journée nationale du souvenir de la Déportation : 30/04/2023
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Cette journée est instituée par la loi n° 54-415 du 14 avril 1954, le dernier dimanche d'avril.
La crypte du Mémorial © Vincent Pfrunner
Elle donne lieu à des cérémonies commémoratives.
A Paris, un hommage est rendu dimanche 30 avril 2023 :
15h45 - Cérémonie au Mémorial de la Shoah, 17 rue Geoffroy-L'Asnier, Paris 4e.
16h30 - Cérémonie au Mémorial des Martyrs de la Déportation, Square de l'Île-de-France sur l'Île de la Cité.
18h30 - Ravivage de la flamme sous l'Arc de Triomphe.