PARACHA KORAH
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Lecture de la Torah : PREMIER ROULEAU (Kora'h: Nombres 16:1-18:32) - DEUXIÈME ROULEAU (Shabbat Roch 'Hodech: Nombres 28:9-15) Lecture de la Torah: 2 Sivan 5785 / 28 juin 2025
LA BOUCHE DE LA TERRE par Caroline Elishéva REBOUH
La mishna de Pirké Avot nous enseigne que juste avant que ne commence le premier shabbat de l’Humanité, D a créé des prodiges qu’IL a programmés pour l’Histoire du monde et surtout du Peuple Juif. L’un de ces dix prodiges est que la Terre ouvrira sa "bouche" pour y engloutir (lors de cette paracha), Korah et toute son assemblée.
Haftara KORAH
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Lecture : Samuel I 11:14 - 12:22
SAUL ROI par Caroline Elishéva Rebouh
La lecture prophétique correspondant à la parasha de Korah se situe dans le premier livre de Samuel à la fin du chapitre XI et le chapitre XII.
On y trouve un prophète âgé, las. Il investit de ses fonctions et l’oint avec l’huile d’onction Saül désigné par D car le peuple, jamais satisfait a réclamé un roi pour le diriger.
Qui était Samuel ?
Le cercle de Généalogie Juif : Conférence "Les archives des Juifs de Constantine (1795-1929)" - 16 juin 2025
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Le cercle de Genealogie Juif propose une Conférence le 16 juin 2025, à 19h, par Zoom.
Le lien zoom pour suivre cette conférence :
ID de réunion: 829 8677 8522
Code secret: 685306
" L’Algérie est vide de ses juifs. À Constantine comme partout ailleurs dans le pays, les juifs ont laissé leurs maisons, leurs cimetières, leurs lieux de prières. Ils ont quitté leurs amis et leurs métiers mais ils ont attendu le tout dernier moment, espérant encore rester là où leurs parents, grands-parents, et aussi loin que l’on remonte dans le temps, leur famille a toujours vécu. La « Jérusalem de l’Est » a perdu ses juifs, et ses synagogues ont été transformées en mosquées, en centres culturels ou en entrepôts, lorsqu’elles n’ont pas disparu. Seules les sépultures résistent encore comme des éclats d’un passé déjà lointain. " écrivent Joëlle Allouche-Benayoun et Jean-Paul Durand, au début de leur article sur les Archives juives de Constantine (XVIIIe-XXe siècles)1
C’était l’été
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Par Jean-Pierre Stora
La Pointe Pescade - Photos et copyright Jean-Pierre Stora
C’était l’été, un été qui commençait dès le mois de mai pour atteindre, assez rapidement, son point culminant.
Les filles avaient adopté la robe en Vichy de Brigitte Bardot, et les garçons, dans une tenue standard, illustraient parfaitement la description que Camus faisait de Meursaut.
Les rires étaient là, les drames, aussi parfois, car l’Algérie vivait ses dernières années françaises.
Les CRS patrouillaient, les militaire combattaient, les gardes territoriales se succédaient. La nature méditerranéenne, toutefois dominait, et la kémia était sur les comptoirs en fin de journée, pour accompagner par ces temps chauds l’anisette.
HORIZONS BLEUS - LE CABANON DES GENS HEUREUX - ALGER ETE 1957
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Par Hubert ZAKINE
"Ce matin y fait un p'tit chouïa frisquet. Avec Serge mon cousin de la cuisse droite, on est morts de faim. Comme tous les jours, zbarlala on se lève les premiers. Purée de tranquillité, j'vous dis pas ! On n'entend rien d'autre que le bruit de la mer, en bas les escaliers. Un vrai régal !"
L'ouvrage "HORIZONS BLEUS LE CABANON DES GENS HEUREUX - ALGER ETE 1957" est paru le 28 mai 2008 chez Presses du Midi.
Extrait du livre, avec l'autorisation de l'auteur
"Le dernier dans l'eau c'est une tapette !" y lance à la ronde Jeannot avant de se ruer dans les escaliers comme s'il devait prendre l'avion.
LA POINTE PESCADE
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Pointe Pescade (23 x 46,5 cm) de Francis Harburger - Mine de plomb sur papier (crédit photo : Jean Chenel)
La baie d'Alger a la forme d'un demi-cercle presque parfait, son rivage s’étend entre : Cap Matifou à l'est et Cap Caxine à l'ouest.
La Pointe Pescade est située, au bord de la mer, à environ 7 km au nord-ouest de la capitale, c’était un lieu de promenade très fréquenté.
⇒ Cliquer sur l'image pour l'agrandir
Padovani Plage, à Alger
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Jean-Pierre Stora et lui appartiennent.
Les plages, de notre enfance, sur la côte algéroise
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Alger-Plage Franco à La Pointe Pescade - Collection Hubert ZAKINEPour accéder aux cartes postales publiées sur notre site internet, cliquer sur :
https://www.morial.fr/image/photos-cartes-postales/368-alger-les-plages.html
"La Côte Algéroise. Après Bab-el-Oued et Saint-Eugène, se déroulait à l'ouest sur une dizaine de kilomètres jusqu'à la Pointe Pescade.
- Guyotville. Une des stations balnéaires préférées des Algérois, à 16 kilomètres de Bab-el-Oued, après la forêt de Baïnem, qui sentait l'eucalyptus et la lavande.
Paracha Chela'h Leha
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Nombres 13 : 1 - 15 :41 - Lecture de la Torah: 25 Sivan 5785 / 21 juin 2025
De nombreuses questions se posent sur cette sidra.
HaShem a promis aux Patriarches de donner en héritage une contrée à leur descendance alors, pourquoi dit-IL à Moïse : "envoie pour toi" des observateurs ?
En fait, IL n’a pas demandé d’envoyer des observateurs mais en précisant bien "pour toi" cela signifie en d’autres termes : pour ce qui me concerne, Je sais ce que Je vais vous donner comme terre mais si toi, Moïse tu veux tranquilliser ce peuple, Je n’y vois pas d’inconvénient, envoie là-bas qui tu veux.
Haftarah Chela'h Leha
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Lecture : Joshua 2:1-24
MON PERE, MA MERE, MES FRERES ET MES SŒURS….
Par Caroline Elishéva REBOUH
La lecture prophétique de cette semaine se trouve au deuxième chapitre de Josué, lorsque le successeur de Moïse parle à ses hommes et les envoie à Jéricho pour "étudier" la place et planifier la conquête de cette place forte.
Le nom de Jéricho (Yériho en hébreu) vient du mot yaréah désignant la lune car y résidaient des idolâtres rendant un culte à l’astre de la nuit.
Josué désigna donc ses explorateurs qui se rendirent chez Rahab.
Qui était cette femme ?
La musique judéo-arabe
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Par Yossef CHARVIT
La musique orientale est d'une complexité, d'une variété, d'une richesse et d'une rigueur extrêmes.
Ainsi folklore est composé de quatre grands répertoires, qui, comme je l'ai déjà expliqué, sont intranscriptibles et de ce fait doivent être appris par coeur.
- C'est tout d'abord le Malouf, l'expression la plus classique de notre patrimoine musical, qui nous vient d'Espagne.
Ce sont des oeuvres importantes, parfois très longues, qui racontent les grandes épopées historiques, les combats héroïques de ceux qui firent la grandeur de ces peuples conquérants ou nomades.
La musique à Tlemcen
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Source de l'information : "Chroniques des communuatés juives d'Algérie"
Tlemcen fut l'un des fiefs de cette musique héritée de l'époque où elle fut la capitale avec ses palais de la dynastie des Ziamides jusqu'en 1555.
Son style de musique Gharnati (Gharnati signifie « originaire de Grenade ») et Haouzi fit école dans toute l'Algérie voire une grande partie du Maroc.
Beaucoup d'artistes formés à Tlemcen allaient faire carrière ailleurs tels Abdelkrim Oali qui fut directeur du conservatoire d'Alger, Redouane à Casablanca, Elyahou Bensaid (Ebého) à Oran.
LILI BONICHE
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Par Albert Bensoussan
Lili Boniche, Éliaou né le 29 avril 1922 à Alger, décédé le 6 mars 2008, avait en ma mère une fervente admiratrice.
Maman, au crépuscule de sa vie, à l'ancre du fauteuil, faisait défiler sur son petit magnétophone les airs de Reinette l’Oranaise, de Blond-Blond ou de Lili Boniche… Ou la Kassidat de Bensoussan, interprétée par Samy El-Maghribi .
Des cassettes que j’allais acheter pour elle chez Colbo, dans les années 80. Elle se rappelait bien ces émissions de Radio-Alger où l’on pouvait entendre les rois de la Casbah, du malouf et du chaâbi, c’est-à-dire de la musique "andalouse" qu’un Edmond Nathan Yafil a su codifier au tout début du XX° siècle (ses textes se trouvent à la bibliothèque de Jérusalem) :